ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE: LA CONTRE-ENQUÊTE (Partie 47)

Publié le par Scaramouche

Les analyses ADN en question.

Un élément souvent avancé pour pouvoir affirmer: "On sait qui était dans les avions", "Les passagers se trouvaient bien dans les avions", "Ils sont bien morts dans les attentats", ce sont les tests ADN, effectués pour identifier les victimes. Et qui sont souvent présentés par beaucoup comme étant une preuve irréfutable. Mais comme vous allez le voir, cela ajoute en fait des interrogations, surtout en ce qui concerne l'origine des restes humains transmis pour les analyses (ceux des pirates de l'air désignés y compris), tout comme sur la composition réelle des Vols 77 et/ou 93.

 

Qui a procédé aux analyses ADN ?

Les analyses seront réalisées par deux organismes différents:

- Pour les victimes de New York, ce seront les autorités de la ville et de la police de New York qui s'en chargeront. Robert Shaler était le scientifique qui a supervisé les examens médico-légal effectués par le bureau du médecin légiste de New York City afin d'identifier les victimes (1). 

- Pour les victimes du Vol 77, du Pentagone et du Vol 93, ce seront les militaires avec le "Armed Forces Identification DNA Laboratory", "Laboratoire d'Identification ADN des Forces Armées" (AFDIL), basé dans le Maryland. Le travail était supervisé par le colonel Brian Smith, responsable du "registre spécial ADN".

 

Qui a fait parvenir les restes pour les analyses ?

Tous les restes humains seront sous la responsabilité du FBI et c'est le bureau fédéral qui fera parvenir les restes au bureau du médecin légiste de New York, pour les victimes du WTC et des Vols 11 et 175. De même pour ceux du Vol 77, du Pentagone, et du Vol 93, le FBI fera accompagner les restes par ses agents, à chaque étape du transport, jusqu'aux différents lieux de stockage temporaires et les laboratoires.

 

Les victimes de New York: Le WTC, les Vol 11 et 175.

Pour aider au travail d'identification, le bureau du médecin légiste (épaulé par 105 scientifiques) s'est appuyé sur un programme d'authentification ADN, développé par la société Gene Codes Corporation, située à Ann Arbor dans le Michigan (link). Le week-end suivant les attentats, la ville de New York avait contactée la société, parce que la police ne disposait pas de moyens suffisant pour pouvoir identifier des milliers de restes humains, souvent de très petites tailles et pour la plupart brûlés (The New York Times du 29 octobre 2010, lien, link). (2)

Ce logiciel est appelé "Système d'identification de victimes en masse", ou "M-FiSys" (pour "Mass Fatality Identification System"). Le médecin légiste de New York dira que: "Sans M-FiSys, l'identification des restes n'auraient pu être réalisées aussi vite, ni aussi bien". Donc, pour les restes difficilement identifiables pour le médecin légiste, on peut donc dire que la ville de New York a en quelques sortes sous-traité les travaux d'identification à une société privée (la société à même dû stopper ses autres activités, pour pouvoir s'occuper des identifications des victimes).

Maryland Celera Corporation (link), une autre autre société privée spécialisée dans l'ADN apportera elle-aussi son concours mais semble-t-il à un moindre niveau.

Le travail a duré de décembre 2001 à février 2005. Le bureau du médecin légiste avait été alors en mesure d'identifier 1588 des 2749 victimes (New York Daily News du 23 février 2005).

Dans les années qui suivront on fera appel à la société Bode Technology (link), un laboratoire privé spécialisé dans une nouvelle méthode d'exctraction de l'ADN, pour les restes les plus difficiles (New York Daily News du 27 avril 2007, lien, link).

 

Au final, en septembre 2011, sur les 2757 victimes de New York, 1121 d'entres elles n'avaient pas pu être identifié. Les 14000 restes trouvés à "Ground Zéro" (9000 que l'on a pas réussit à identifier et 5000 autres identifiés, mais qui n'ont pas été réclamés par les familles), seront entreposés, comme ceux du Pentagone et de Shanksville que l'on est pas parvenu à identifier non-plus, au "National Mémorial Muséum" des attentats du 11 septembre. Jusqu'à ce que les progrès scientifiques permettent de pouvoir identifier les restes qui n'ont pas trouvés de noms (New York Times du 4 septembre 2001, lien, link).

Près de 40% des victimes de New York ne seront pas identifiées. 

 

Les victimes du Vol 77 et du Pentagone.

Sous l'autorité du FBI, les corps et les restes des victimes trouvées au Pentagone seront transférés dans une morgue provisoire dans un local du parking nord du Pentagone. Où ils y seront photographiés, étiquetés, puis placés dans des chambres froides. Ils seront ensuite transportés vers la base de Davison Army Airfield à proximité de Fort Belvoir, et de là, transférer à Dover Air Force Base, dans le Delaware, où il y a une grande morgue destinée à une utilisation en temps de guerre (rapport du US Departement of Health and Human Services de juillet 2002, pages A-47 et C-55, lien, link; American Forces Press Service du 15 septembre 2001).

Environ 250 personnes, dont 50 médecins légistes et 50 membres du FBI de l'équipe des "situations de catastrophe", travaillaient à la morgue pour identifier les restes. La première chose a d'abord été de détecter la présence ou non de corps étrangers métalliques. Puis de recueillir des preuves pour trouver des traces de produits chimiques d'explosifs, et d'effectuer des identifications d'empreintes digitales, pour les experts du FBI. Les autres techniques utilisées comprenaient la comparaison des dossiers dentaires et des radiographies. Des échantillons de tissus seront envoyés au "Armed Forces Identification DNA Laboratory", pour réaliser les analyses ADN. L'identification était problématique parce que les spécimens étaient souvent des parties de corps méconnaissables, et presque toujours mélangés avec des débris métalliques et/ou de matériaux de construction.

Ils ont terminé leur travail d'identification le 16 Novembre 2001. Ils avaient identifié 184 des 189 personnes décédées dans le Pentagone ou se trouvant à bord du vol 77, y compris les cinq pirates de l'air (PBS Newshours du 21 septembre 2001, lien, link; Washington Post du 21 novembre 2001). Donc cinq restes n'ont pu être identifié.

 

Les victimes du Vol 93.

Searchers a récupéré environ 510 kilos de restes humains sur le lieu de l'accident, équivalant à environ huit pour cent du poids total des corps des occupants de l'avion. Selon le coroner du comté de Somerset Wallace Miller, tout le reste aurait été vaporisé (Washington Post du 12 mai 2002; "The Age", presse Australienne du 9 septembre 2002, lien, link; Cnews, presse Canadienne du 28 mars 2004, lien, link).

Les restes humains du site du crash du vol 93 seront regroupés dans une morgue temporaire qui avait été mise en place à l'Armory Pennsylvanie National Guard, l'arsenal de la garde nationale de Pennsylvanie, à plusieurs kilomètres de là, à Friedens (rapport du Pennsylvania Emergency Management Agency du 12 septembre 2001).

Prés de 75 à 100 spécialistes, y compris des pathologistes et des experts d'empreintes digitales, travailleront pour identifier les restes. L'Anthropologue et légiste Dennis Dirkmaat dira que les restes avaient subi "une fragmentation extrême", et la majorité devront être identifiées en utilisant l'analyse ADN (Washington Post du 14 septembre 2001). Lorsque les restes ne peuvaient être identifiés à la morgue temporaire, les échantillons seront envoyés au laboratoire militaire d'identification ADN à Rockville, dans le Maryland, où des échantillons du crash du Pentagone étaient également en cours d'analyse (Pittsburgh Post Gazette du 25 septembre 2001, lien, link). 
Le 19 décembre 2002, le reste de l'ensemble des 40 passagers et membres d'équipage du vol 93 avaient été identifiés, en utilisant les empreintes digitales, les dossiers médicaux et les analyses ADN. Les enquêteurs ont, par un processus d'élimination, également été en mesure d'isoler les profils génétiques des quatre pirates de l'air (Pittsburgh Post Gazette du 30 décembre 2001, lien, link; Associated Press du 26 février 2002 par CBS News, lien, link).

 

Le FBI prétend avoir "identifié" les restes de 13 des 19 pirates de l'air du 11 septembre, mais n'apporte aucune preuve pour pouvoir établir qui ils sont.

En tout, les restes des pirates de l'air retrouvés représentent 24 kilos de chairs et de fragments d'os brûlés. Ils sont entreposés dans un endroit secret à New York et en Virginie et sont "stockés comme éléments de preuve dans une armoire réfrigérée dans des récipients fermés et des tubes à essai", a expliqué Richard Kolko, porte-parole du FBI.

Les médecins légistes diront avoir trouvé des restes humains correspondant à l'ADN de deux des pirates de l'air des vols 11 et/ou 175. Les noms des deux pirates de l'air n'ont pas été divulgué. Le FBI avait donné aux analystes le profil ADN des dix pirates de l'air quelques semaines auparavant. 

Les profils génétiques de cinq pirates de l'air du vol 77 et des quatre du vol 93 qui ne correspondaient à aucun des profils des passagers ont été remis au FBI, mais pour ceux-ci, le FBI n'avait donné aucun profils ADN avec lesquels ont pourrait faire des comparaisons, pour pouvoir être certain qu'il s'agit bien des restes des individus en question (CNN du 27 février 2003, lien, link). Ce qui est en contradiction avec les déclarations précédentes, sur la fourniture de dix profils ADN.

Robert Shaler dira avoir identifié trois des pirates de l'air. Cependant, il déclare qu'ils n'ont pas pu être identifiés par leurs noms parce que les dix profils ADN fournis par le FBI n'avaient pas de noms rattachés. Shaler déclarera: "Pas de noms, juste un code K, ce qui est la façon dont le FBI désigne les "éléments connus", ou les spécimens dont il connaît les origines, mais qu'il veut les garder secrètes. Bien sûr, nous n'avons pas eu une connaissance directe de la façon dont le FBI a obtenu l'ADN des terroristes" (New York Daily News du 12 octobre 2005).

Le New York Times rapporte que le bureau du FBI et celui du médecin légiste de la ville de New York ont pu identifier en tout les restes de 13 pirates de l'air. Les restes sont encore en leur possession parce que personne ne les a réclamé. Le FBI détient les restes des neuf pirates de l'air des vols 77 et 93, qui ont été récupérés dans le Pentagone et sur le site du crash à Shanksville. L'identité de chaque reste a été établie indirectement. Tout d'abord, les chercheurs ont identifié les victimes en utilisant les profils ADN fournis par les familles. Les restes qui restaient et qui n'avaient pu être associés à aucun profil, étaient donc supposés appartenir à des pirates de l'air. 
Le médecin légiste dira détenir également les restes de quatre pirates de l'air récupérés sur le site du World Trade Center. Un profil ADN pour chacun des 10 pirates de l'air qui ont pris part aux attentats de New York a été créé par le FBI à partir d'objets personnels récupérés, tels que les mégots de cigarettes et le contenu de bagages laissés dans une voiture de location. Le FBI a ensuite fourni ces profils au bureau du médecin légiste, mais sans les dénommer. Par conséquent, le bureau du médecin légiste peut les relier aux restes récupérés des quatre individus, mais n'a pas pu leur donner un nom. Le FBI et le bureau du médecin légiste ont refuser de communiquer exactement où les restes des terroristes étaient conservés (New York Times du 21 septembre 2008, lien, link; Newsweek du 2 janvier 2009, lien, link).

Le "Armed Forces Identification DNA Laboratory" (AFDIL) publiera un rapport sur ​​l'examen de l'ADN des pirates de l'air présumés des vols 77 et 93. L'ADN des pirates de l'air a été identifié par un processus d'élimination, c'est à dire qu'il est supposé être celui des terroristes, parce qu'il ne correspond pas aux autres restes humains, comparés aux échantillons fournis par les familles des passagers. Des échantillons, qui auraient permis de faire des comparaisons est certifier que ces restes appartenaient bien aux terroristes, n'ont pas été demandés aux familles des pirates de l'air. Mais il a été déterminé que leurs ADN pouvaient provenir d'hommes du Moyen-Orient, bien que pour deux d'entre-eux, l'étude effectuée d'après la bases de données actuelles, indiquerait qu'ils sont plus susceptibles de provenir d'individus de type Européen. De plus, les échantillons ADN trouvés au Pentagone indiquent que deux des pirates de l'air présumés pourraient très bien avoir été des frères. On peut supposer que cela se rapporterait à Nawaf et Salem Alhazmi (rapport du "Armed Forces Identification DNA Laboratory", pages 82-84, lien, link).

A l'heure actuelle, il n'y a encore eu aucun rapport indiquant que les restes des pirates de l'air avaient bien été identifiés nommément d'après leurs ADN, d'après leurs restes retrouvés, et deux pirates de l'air ne semblent pas être originaire du Moyen Orient.

 

Concernant les restes des victimes, ils n'ont pas pu avoir été retrouvé sur les lieux des crash, surtout à Washington et à Shanksville.

Pour les Vol 11 et 175:

Les restes des occupants des deux avions auraient été trouvé à "Ground zéro". Mais comme nous l'avons déjà abordé (et l'étude des détournements des Vol 11 et 175 le démontre) (3), les avions qui s'écrasent sur le WTC ne sont pas ceux qui ont décollés de Boston ce matin-là. Comme ils étaient des Boeing téléguidés (en fait des "avions cibles"), ils étaient vides de tous passagers et membres d'équipage, et ne contenaient donc pas les occupants officiels, qui ont embarqués à l'aéroport de Boston. On peut donc se demander, où on pu être retrouver les restes des victimes, transmis par le FBI ?

 

Pour le Vol 77:

Comme tout le monde a pu le constater (et cela a été assez répété), nous n'avons pas de Boieng 757 dans le Pentagone. Nous n'avons pas d'avion, et pour expliquer ce fait, la réponse des autorités sera "que l'avion a été vaporiser". Mais dans ce cas, si l'avion lui-même aurait été entièrement pulvérisé, comment a-t-on pu y retrouver des restes des occupants de l'avion ? Si l'on suit la logique de la version officielle, si l'on se retrouve (mis à part les employés du Pentagone) avec plusieurs centaine de kilos de poussière que représenteraient les corps, comment est-il alors possible de fournir des "restes humains", pour pouvoir réaliser des analyses ? Et comment aurait-t-il pu être possible de les identifier ?

 

Pour le Vol 93:

Wallace Miller, coroner du Comté de Somerset a dit que seulement huit pour cent de l'épave de l'avion avait été récupéré et que le reste avait été vaporisé. Et il a ajouté: "Nous avons trouvé le reste à 50 pieds de profondeur" dans l'énorme cratère laissé par l'avion après l'impact. Au sujet des victimes: "Les efforts de récupération des victimes ont été entravés parce que la plupart des restes humains récupérables étaient dans les arbres" (Cnews, presse Canadienne du 28 mars 2004, lien, link).

Toujours concernant les restes des victimes: "La seule partie de corps reconnaissables qu'il a vu était un morceau de la moelle épinière, avec cinq vertèbres attaché. J'ai vu beaucoup de tués sur les routes où il y a fragmentation. La chose intéressante à propos de ce cas particulier, c'est que je n'ai pas, à ce jour, 11 mois plus tard, vu une seule goutte de sang. Pas une goutte...".
"Les membres du bureau [du FBI] ont séjourné à l'emplacement de l'accident pendant 16 jours et ont récupéré 230 kg de restes".
Miller a estimé que le poids moyen de chacune des 44 personnes à bord du vol 93 était de 79,5 kilogrammes, pour une masse corporelle totale des occupants de 3500 kilogrammes. "Nous avons récupéré 270 kilogrammes. Sur ce, nous en avons identifié environ 110", a-t-il ajouté.

Mais alors que d'après Miller, la majorité de l'avion aurait été "vaporisé", et que seulement 270 kilos de restes humains seront retrouvés, on retrouvera des effets personnels intacts: "...comme un anneau de mariage et d'autres bijoux, des photos, des cartes de crédit, des sacs à main et leurs contenus, des chaussures, un porte-monnaie et de change, figurent parmi les sept boîtes de récupération des effets personnels identifiés sur le site...". "...Nous avons une appartenance pour la plupart des passagers", a déclaré Craig Hendrix, un coordonnateur de pompes funèbres et un administrateur des effets personnels avec les coordonnateurs de Air Douglass en cas de catastrophe, une société souvent contactée par les compagnies aériennes après les accidents aériens". Selon Craig Hendrix, "les effets personnels qui ont survécu à l'accident ont été éjectés de l'avion au moment de l'impact" (Pittsburg Post-Gazette du 30 décembre 2001, lien link).

Décrivant le site du crash: "C'était la chose la plus étrange," a rappelé Miller. "Habituellement, quand vous voyez un accident d'avion à la télévision, vous voyez le fuselage, la queue ou un morceau de quelque chose. Le plus gros morceau que j'ai vu était gros comme ça (en écartant les mains à moins d'un mètre de distance). C'était comme si quelqu'un avait pris un camion à benne basculante à trois essieux et les avaient étalé sur un acre" ("The Age", presse Australienne du 9 septembre 2002, lien, link).

Donc, si l'on suit les dires de Miller, le Vol 93 aurait touché le sol, explosé en expulsant des effets personnels et des restes de cadavres jusque dans les arbres avoisinant, et dans le même temps se serait enfoncé dans le cratère jusqu'à 50 pieds (15 mètres de profondeur) où l'on aurait retrouvé seulement 8% du Boieng 757, le reste s'étant "vaporisé". Il n'y a qu'à prendre le temps de regarder d'autres sites de crash en plein nature, pour voir qu'un avion tel qu'un Boeing 757 ne peut se vaporiser de la sorte, et qu'en aucun cas lorsqu'un avion s'écrase, on ne retrouve des débris enfoncés dans le sol à une aussi grande profondeur. Et le jour même du 11 septembre, comment se fait-il que le personnel de la FAA, les secouristes et journalites arrivés sur les lieux, alors qu'ils ont cherchés partout, n'ont pas vu ces restes humains, acrochés dans les arbres ? 
En fait, concernant l'origine des débris retrouvés à Shanksville, Miller nous apporte lui-même la réponse, quand il se pose la question. On se rend bien compte que les débris ont été ammené sur les lieux et qu'ils provenaient d'un autre endroit (4).

 

D'où viennent les restes fournis par le FBI pour les analyses ADN ?

Le problème qui se pose, ce n'est pas la question des analyses ADN qui ont bien eu lieu (et rien ne montre qu'elles auraient été falsifiées par les examinateurs eux-mêmes), mais bien la question de l'origine exacte des restes humains, fournis par le FBI.

On comprend bien que les restes attribués aux occupants des Vols 77 et 93, n'ont en fait pas pu avoir été trouvé au Pentagone et à Shanksville. Dans ce cas d'où viennent-ils ? Parce que, en poussant le raisonnement plus loin, si ils n'ont pas été trouvé sur les lieux des crash, cela voudrait dire que, si l'on se base sur l'affirmation des autorités: "les analyses ADN prouvent que les passagers étaient bien dans l'avion", et bien cela signifierait que les Vols 77 et 93 ne se sont pas écrasés au Pentagone, ni à Shanksville, puisqu'il était impossible d'y retrouver sur place les restes en question.
Donc, si le FBI a bien été capable de livrer les restes des occupants des avions pour analyse, en toute logique, on devrait alors accepter le fait que les deux avions auraient en fait été détruits ailleurs, et ne se seraient jamais écrasés sur les lieux officiels des crash. On voit bien que, loin de confirmer la version officielle, au contraire, la provenance réelle - qui est donc inconnue - des restes fournis par le FBI, démontreraient que si les passagers se trouvaient dans les vols 77 et 93, ils auraient donc trouvés la mort dans un autre endroit. Et bien-sûr, cela ne correspond pas avec la version officielle.

En fait, les identifications ADN prouvent uniquement qu'un reste correspond à l'un des échantillons réclamés aux familles pour pouvoir faire des comparaisons, et identifier une personne, mais pas que les occupants des deux avions ont effectivement perdu la vie sur les lieux des crash.

Je ne prétends pas que tous les passagers (des vols réels intercepté en les faisant atterrir, suite à leur détournement dans le cadre des exercices de simulation) (5) auraient tous été supprimés, dans le but d'avoir des restes humains à fournir pour les identifications. Quoique, après avoir provoqué délibérément la mort de plus de 2600 personnes avec l'effondrement des tours jumelles et plus de 120 au Pentagone, il faut bien dire qu'ils n'étaient plus à ça près. Cette possibilité n'est donc pas à exclure. Mais ils ont pu utiliser un autre moyen, pour pouvoir donner des restes humains à analyser, correspondant aux occupants des quatre avions du 11 septembre. Comment ont-ils bien pu précéder ? Et bien, peut-être tout simplement en fabriquant eux-mêmes les "restes humains" de toutes pièces.

 

La technologie permettant la fabrication d'éléments organiques humains: La Thérapie Cellulaire.

La thérapie cellulaire (par l'intermédiaire des cellules souches, lien, link) est une technologie médicale, initialement développée pour le remplacement de peau pour les grands brûlés. L'intérêt est né juste après la Seconde Guerre Mondiale et les recherches concluantes ont commencées dans les années soixante-dix. La médecine y a aussi vu d'autres applications possibles. Et depuis plusieurs années, bien avant 2001, les techniques d'ingénieries biologiques permettaient déjà en laboratoire ("in vitro" ou "ex vivo") la création de la peau, de cartilage et même d'os:

- La technique de culture des cellules de l'épiderme (keratocytes) pour fabriquer de la peau remonte au tout début des années quatre-vingt, link. Elle avait été inventée par le docteur Howard Green, lorsqu'il était professeur de biologie cellulaire au M.I.T., "Massassuchetts Institute of Technology", link, (la demande de brevet sera enregistrée en juillet 1980. Brevet n° EP 0020753 B1, link);

- La technique de culture des cellules chondrogéniques ou de véritables tissus fonctionnels fabriqués en laboratoire à partir de cellules souches mésenchymateuses, pour obtenir du cartilage, remonte à la fin des années quatre-vingt dix, elle avait été inventée par le docteur Michael Hejna, du Rush University Medical Center (la demande de brevet sera enregistrée en février 2000. Brevet n° EP 1738717 B1, link);

La technique de culture des cellules pour obtenir des os pour la réparation du squelette remonte à la fin années quatre-vingt dix, elle avait été inventée par les docteurs Yvonne Pearl Bovell, Joots Dicks De Bruijn et Clemens Antoni Van Blitterswijk, de IsoTis Inc. Société spécialisée dans le développement, la fabrication et la commercialisation de produits orthobiologiques pour le traitement de maladies et de troubles musculosquelettiques. Ses produits comprennent des substituts orthobiologiques pour greffe osseuse qui sont utilisés pour améliorer la réparation et la régénération de l'os (la demande de brevet sera enregistrée en mars 1997. Brevet n° EP 0798374 B1, link).

Et la technique de culture des cellules pour obtenir des os de mammifères remonte à la toute fin années quatre-vingt dix, tout début des années deux mille, elle avait été inventée par les docteurs Sujata Kale et W. Michael Long, du The Regents of The University of Michigan (la demande de brevet sera déposée en décembre 2000. Brevet n° EP 1242577 B1, link).

Dans un contexte purement médicale, le gros problème est celui du rejet éventuel de la part du receveur, dans le cas classique d'une xénogreffe. L'organisme du receveur ne supporte pas l'organe, le tissu ou les cellules implantés qu'il reçoit, et son système immunitaire le rejette en tant que "corps étranger", parce qu'il y a incompatibilité immunologique avec le donneur. Pour palier à ce problème, les chercheurs se sont tournés vers les cellules souches, il n'y a plus de xénogreffes, puisque le greffon est fabriqué en laboratoire, d'après les cellules du receveur lui-même (il y a donc une parfaite compatibilité et pas de rejet). Mais ce n'est pas ce qui nous interesse ici. Ce qui est à retenir, c'est que, en prélevant des cellules à une personne (pour faire par exemple de la peau, on prélève des cellules de l'épiderme, mais pour fabriquer d'autres éléments, une simple prise de sang suffit). La technologie actuelle, et qui existait en septembre 2001, permet la fabrication de tissus et même d'os (quelques semaines de culture en labo suffises). Et bien-sûr, la compatibilité et totale et l'ADN correspond (les cellules possèdant toutes le même patrimoine génétique), puisque les cellules premières servant à la base de la fabrication, proviennent du receveur lui-même.

Le docteur Michèle Martin, attaché au Commissarait à l'énergie atomique d'Evry, qui soigne les grands brûlés, dira: "Leur potentiel de prolifération est extraordinaire...". "A partir d'un prélèvement de la taille d'un timbre-poste, on peut obtenir un revêtement cutané intégral d'un être humain, soit près de 2 mètres carrés".
Et à l'université de Modène (Italie), une équipe dirigée par le Docteur Michele De Luca est parvenue à remplacer l'épiderme d'un patient atteint de plaies chroniques à l'aide de greffons de peau obtenus à partir de cellules souches (l'Express du 15 décembre 2008, lien, link).

Mais avec les attentats du 11 septembre dont il est question ici, il n'y aura bien-sûr aucune greffe, seul les prélèvements et la fabrication auront lieu. 

On voit tout l'intérêt de cette technologie, si l'on souhaite faire parvenir des "restes humains" (tissus ou morceaux d'ossement) à un laboratoire, pour avoir un résultat d'analyse positif, et pouvoir faire croire à la mort d'une personne, alors que cette dernière est en fait bien vivante. Et dans le contexte du 11 septembre, comme les passagers et membres d'équipage ont manifestement été récupérés, il n'y avait aucun problème pour effectuer un prélèvement de peau, ou de cellules par une simple prise de sang (tout comme d'ailleurs avoir pu obtenir les différents effets personnels qui seront retrouvés intacts, comme à Shanksville). Si des restes n'ont pu être identifié, c'est simplement parce qu'ils devaient être bien trop brûlé (6).

Et il y a encore une autre méthode, pour produire un reste humain quelconque, avec l'ADN de la personne correspondante que l'on souhaite. Il suffit d'extraire un échantillon ADN d'après le sang ou la salive d'une personne, et de l'implanter dans des restes organiques, de "contaminer" des restes humains avec l'échantillon en question, qui remplacera l'ADN initial des restes, traités de cette façon. L'analyse ADN n'y verra que du feu, identifiera uniquement le nouvel ADN et sera incapable de reconnaitre ou de faire la différence avec l'ADN primitif. C'est "l'amplification globale du génome".

 

La facilité avec laquelle on peut falsifier de l'ADN et en fabriquer un faux.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il est très facile de contrefaire de l'ADN.  

“Des scientifiques israéliens ont découvert qu'il était aisé de contrefaire de l'ADN humain dans un but frauduleux de substitution d'identité génétique..."; "Selon ces chercheurs, il n'est pas difficile, avec un matériel élémentaire et des connaissances équivalentes à celles d'un étudiant de première année en faculté de biologie, de fabriquer artificiellement des échantillons d'ADN qui peuvent être incorporés dans la salive et le sang humain. Dans le numéro de juin de la revue scientifique trimestrielle FSI Genetics, le chercheur Dan Frumkin et ses collègues publient les résultats d'une étude au cours de laquelle ils ont produit des échantillons de sang à partir d'ADN falsifié. 
Ils ont ensuite fait tester ce sang par les laboratoires de pointe de la police scientifique, qui n'ont rien décelé d'anormal". Parce que: "Aujourd'hui, les méthodes d'identification ne permettent pas de distinguer entre des prélèvements de sang, de salive ou des surfaces en contact avec de l'ADN artificiel", écrit M. Frumkin. 

"Pour fabriquer de grandes quantités d'ADN artificiel, il suffit d'envoyer une tasse de café sale ou un mégot de cigarette à un laboratoire, et pour une somme relativement modique, l'échantillon d'ADN collecté peut être identifié, puis reproduit et réexpédié dans une éprouvette", explique à l'AFP (Agence France Presse) Elon Ganor, PDG et co-fondateur avec M. Frumkin de Nucleix, une société israélienne spécialisée dans l'analyse ADN. Il suffit alors d'implanter ces échantillons d'ADN, ainsi produits selon la technique dite de "l'amplification globale du génome", sur le lieu de n'importe quel crime. En conséquence, assure M. Frumkin dans le quotidien Haaretz, "ce n'est qu'une question de temps avant que les criminels ne commencent à produire de l'ADN contrefait".

"Les chercheurs de Nucleix sont aussi capables de modifier l'ADN du sang par centrifugeuse en séparant les cellules rouges des blanches qui contiennent l'ADN d'un individu. L'ADN artificiel est alors ajouté aux cellules rouges, ce qui lui confère un nouveau profil. Un procédé des plus efficaces puisque un laboratoire aux Etats-Unis, qui coopère avec les médecins légistes du FBI (police fédérale américaine), n'a pas réussi à identifier la contrefaçon, raconte M. Ganor". (Le Monde du 20 août 2009, lien, link; Revue FSI Genetics, lien, link).

 

Concernant les restes des pirates de l'air.

Au sujet de l'ADN des terroristes, le FBI a en fait créé un profil ADN pour chacun des individus, d'après des prélèvements sur des mégots de cigarettes, des objets personnels et les bagages retrouvés dans le coffre d'une des voitures des pirates de l'air. Mais alors que, officiellement les pirates ont été clairement identifiés, il n'y aura pas de demandes, ni de prélèvements ADN auprès des familles des 19 terroristes désignés par la version officielle, pour disposer de profils ADN authentiques (si les terroristes sont bien ceux que l'on nous dit, on peut se demander pourquoi cela n'a pas été fait, au lieu d'en créer de toutes pièces, d'après des effets personnels, bien évidemment "pollués", par d'autre traces génétiques).

Mais aussi, qui aurait été très facile à fabriquer de toutes pièces - comme nous l'avons vu avec la technique expliquée plus haut - pour pouvoir ensuite apporter la "preuve irréfutable", "que les pirates de l'air étaient bien dans les avions". On voit à quel point il était facile pour les autorités (le FBI), d'apporter en même temps, "profils ADN" créés de toutes pièces et "restes humains" des pirates de l'air, pré-implantés avec les mêmes ADN en question. Bien-sûr, pour que le tout corresponde.

Et le fait que deux identifications concernent deux personnes, n'appartenant pas aux occupants officiels dans les Vols 77 et 93, donc supposé être des "pirates de l'air", et qu'ils soient identifiés comme ayant un ADN correspondant à des personnes de types Européens, démontre bien que les listes de passagers sont effectivement erronées. Alors, cela veut dire que ce sont deux passagers du Vol 77 ou celui du Vol 93, ou bien encore un passager sur chacun des vols. Dans tous les cas, cela démontre que deux passagers sur le Vol 77 ou 93 (ou un passager sur les deux), sont inconnus et ne figuraient alors pas sur les listes de passagers officielles.
Ce qui prouve non seulement que la composition exacte du Vol 77 et/ou du Vol 93 n'était effectivement pas connu précisèmment des autorités (comme nous l'avons vu précédemment, c'était déja le cas pour le Vol 11), mais que, officiellement, nous aurions alors deux passagers supplémentaires anonymes, morts dans les attentats. Si ils ont étaient isolés et ne correspondent pas aux autres victimes, il viennent alors s'ajouter et le nombre total de passagers ne correspond plus. Ou bien ils remplacent alors deux autres passagers. Ce qui remet en question le nombre et l'identité des passagers réellement présents sur le Vol 77 et/ou 93 (donc les listes de passagers officielles).

 

Conclusion.

Comme on le voit, les analyses ADN censées être la preuve incontestable que les passagers et membres d'équipage, ainsi que les pirates de l'air d'Al Qaïda se trouvaient bien dans les Vols 11, 175, 77 et 93 qui se sont officiellement écrasés, sont soumises à caution. Non pas que les identifications auraient été falsifiées par les laboratoires d'analyse ADN. Mais bien parce que d'une part, les restes n'ont pu avoir été trouvés là où on nous le dit (d'après ce que montre notre étude des attentats du 11 septembre jusqu'à maintenant), et d'autre part, il était extrêment facile de prendre des restes humains quelconques (les labos des facs de médecine en regorge) et d'y implanter des échantillons ADN des occupants des avions (puisque tout indique que les personnes tout comme les avions ont été récupérés), pour obtenir évidemment un résultat positif. Et ainsi pouvoir faire croire publiquement à leur mort.

Maintenant, si c'est bien ce procédé qui a été utilisé, cela voudrait dire que l'on veut nous faire croire à leur mort alors qu'ils seraient en fait toujours vivants. Alors, que seraient devenu les occupants des quatre avions ? (Nous y reviendrons).(7)

 

(1) Il écrira le livre: "Who They Were: Inside the World Trade Center DNA Story - The Unprecedented Effort to Identify the Missing", "Qui étaient-ils: L'histoire de l'ADN à l'intérieur du World Trade Center - L'effort sans précédents pour identifier les personnes disparues", Editions Free Press.

(2) Le montant du contrat négocié entre Gene Codes Corporation et la ville de New York pour l'emploi du logiciel sera de 13 millions de dollars.

(3) Pour plus d'informations, voir "Attentats du 11 septembre: La contre-enquête (Parties 13-15-16)".

(4) Cela confirmerait le fait que le site de Shanksville est un site de crash simulé, et que des débris auraient en fait été amené sur les lieux, mais proviendraient d'un autre endroit. Pour plus d'informations, voir "Attentats du 11 septembre: La contre-enquête (Parties 25-26-27)".

(5) Pour plus d'informations, voir "Attentats du 11 septembre: La contre-enquête (Parties 1 à 46)".

(6) Au sujet de la question de la facilité avec laquelle on peut falsifier de l'ADN, lire l'article: "Quand les "experts" se trompent", lien, link.

(7) Pour plus d'informations, voir "Les Black Program: Le Programme "WITSEC".

Sources:
La lettre du FNRS (Fond National de Recherche Scientifique) n°64;
Revue de Chirurgie Orthopédique et TraumatologiqueVolume 94, n° 8Spages 383-393 (décembre 2008);
www.historycommons.org;

www.em.consulte.com;
www2.frs-fnrs.be.