LES "FOO-FIGHTERS"

Publié le par Scaramouche

De mystérieuses "sphères volantes" font leur apparition en 1944.

A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, à partir de 1944, sont apparu de curieux objets volants sphériques, qui se mettaient à suivre les bombardiers alliés pendant les phases de bombardements aériens, ainsi que les chasseurs d'escorte. Il y a eu des rapports d'observations par les pilotes et les équipages, aussi bien sur le théâtre d'opération Européen, que sur celui du Pacifique (1). Parfois il n'y en avait qu'un seul, mais généralement ils évoluaient en groupe et quelques fois en formation. Le jour, ils ressemblaient à des petits globes métalliques. La nuit, ils brillaient avec des couleurs différentes. Ces objets approchaient de près les appareils alliés, et les équipages cherchaient à les éviter à tous prix, pensant qu'ils pouvaient exploser. Au moment des manœuvres d'évitement, les mystérieux objets suivaient le mouvement, continuant de suivre l'avion. Il a été parfois appelé "Feuerball", de son nom allemand ou par sa traduction en anglais, "boule de feu". Plus tard, le terme "Foo Fighters" fût le nom donné par les pilotes alliés à ce petit objet volant.

Voici un exemple de témoignage: 

"Au point 0600 (le 22 Décembre 1944) près de Haguenau, à 10000 pieds d'altitude, deux lumières très brillantes sont montaient vers nous à partir du sol. Elles se sont stabilisées et sont resté sur la queue de notre avion. Elles étaient comme un énormes feux de couleur orange vif. Elles y sont restés pendant deux minutes. Sur ma queue tout le temps. Ces objets semblaient être sous un contrôle parfait (à partir du sol). Ils se détournèrent ensuite de nous, et le feu semblait s'échapper."

Voici quelques photos de "Foo Fighters":

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Les "Foo Fighters", trainent depuis longtemps de fausses idées reçues.

On a souvent mentionné les "Foo Fighters", dans les ouvrages sur les soucoupes volantes dans les années cinquante, et raconté les observations des équipages alliés. Plus tard, les livres et les publications ont eu tendance à ne plus parler des "Foo Fighters", préférant raconter les récits d'observations d'ovnis.

Dans la majorité des cas, l'ensemble des magazines, revues ou encore les livres sur les ovnis, disent fréquemment, ou bien laisse entendre que durant la Seconde Guerre Mondiale, chacun des belligérants, les forces Alliés comme celles de l'Axe, pensaient que les Foo Fighters étaient une arme appartenant à l'autre camps. Citant également des pilotes allemands qui prétendent que les Allemands ne connaissent pas leur origine. Ou bien ils tentent de dire que les Foo Fighters sont encore une chose totalement inconnue, toujours entouré d'un mystère. Ou peut-être dû à un phénomène climatique naturel. Ou encore, ils avancent une origine extraterrestre.

On ne peut les taxer de mauvaise foi, ou bien de vouloir délibérément tenter de discréditer la question des Foo Fighters. Peut-être que beaucoup d'auteurs ont cherché à ne pas s'étendre sur le sujet, simplement par désintérêt. Ils continuent de reprendre les thèses habituelles, sans chercher plus loin. C'est en fait pour eux une explication plus commode. 

L'armée Américaine a quand à elle, toujours niée avoir connaissance de ce qu'était réellement les Foo Fighters. Jusqu'en 1990, les demandes déposée, par les auteurs et les enquêteurs pour demander des informations sur les Foo Fighters, n'avaient menées à rien (les agences gouvernementales des Etats-Unis répondant qu'elles n'avaient jamais entendu parler des Foo Fighters). Du côté Américain, c'est le silence depuis des années, mais dernièrement des informations ont filtrées. 

 

Les "Foo Fighters" étaient bien une arme Allemande.

Suite a une longue enquête sur le terrain, l'enquêteur Renato Vasco a découvert de nombreux renseignements sur les Foo Fighters.

Il les décrit comme étant un genre de "projectile" radio-contrôlée, "tiré" à l'aide d'une sorte de "canon" spécifique (2). Ils étaient construit dans un établissement d'aéronautique à Wiener Neustadt (Autriche) avec l'aide de la "Forschungsanstalt Flugfunk" (Installation de recherche-radio en vol) de Oberpfaffenhoffen. Le projet était sous le contrôle d'une division technique de la SS. Il était de forme sphérique. Le dispositif était alimenté par un procédé d'auto-alimentation spécial, et un turboréacteur circulaire assuré la propulsion. Après avoir été guidé à la proximité de la cible à partir du sol, un dispositif de repérage infra rouge prenait le contrôle de façon automatique. L'échappement de la chaleur, dû à la rotation du turboréacteur circulaire créé un effet un lumineux visible, qui le faisait ressembler à une boule de feu dans le ciel nocturne. Dans le corps de la sphère elle-même, il y avait un tube de klystron, pulsé à la même fréquence que les radars alliés. La rendant presque invisible à partir de grandes distances. Une mince feuille d'aluminium entourait l'appareil immédiatement sous la couche de la carrosserie de protection, mais le tout étaient isolé électriquement. Une fois qu'une balle lui transpercait la carrosserie et la mince feuille d'aluminium, un circuit de réponse autonome avait été créé, qui avait pour effet de déclencher la propulsion, pour le faire grimper à pleine vitesse et le mettre hors de danger (3).

Une fois à portée de l'objectif (l'avion Allié), des additifs chimiques spéciaux étaient ajoutés au mélange de carburant qui étaient rejeté dans l'air par l'échappement dans le voisinage de la sphère, pour qu'il devienne ionisé. Cela signifiait que de l'électricité pouvait être produit directement, autour la sphère, dans l'air environnant lui-même. Cela devait agir sur le moteur de l'avion Allié, pour pouvoir en gêner suffisamment le fonctionnement. Le principe étant que tout moteur de base, même d'entrée en gamme, proche de la zone ainsi "ionisée", aurait des ratés, des décrochages, il calerait, et finalement ne fonctionnant plus, l'avion finirait par s'écraser. On se rend bien compte que le procédé n'a en fait jamais fonctionné parfaitement. La propulsion et le téléguidage, oui. Mais pas le système de neutralisation des moteurs. Ils continuèrent malgré tout à les utiliser, dans le but de déstabiliser "psychologiquement" les pilotes Alliés.

Avec l'avance des Soviétiques en Autriche, les installations de production des Foo Fighters auraient été transférées par la suite dans plusieurs usines souterraines situées dans la Forêt-Noire, qui étaient gérées par les Industries Zeppelin.

 

Le gouvernement Américains savait dès 1944, qu'il s'agissait bien d'une arme Allemande.

Un chercheur allemand, Friedrich Georg, a retrouvé un document très interessant dans un rouleau de microfilm, un rapport du "Quartier Général des Forces aériennes Stratégique des Etats-Unis en Europe", "Bureau de la Direction du Renseignement", avec sur la page de couverture l'intitulé, "Une évaluation de la capacité Allemande en 1945", qui avait manifestement échappé à la censure. Dans ce rapport, qui faisait la synthèse des dispositifs Allemands, un passage sur les dispositifs "Phoo Bombs", étaient mentionné. Les sources concernant les Foo Fighters sont les rapports des pilotes et des équipages et des témoignages de prisonniers de guerre, c'est marqué dans le rapport. (Evidemment, le rapport émanant du "renseignement", ils ont bien sûr obtenu des informations par les différents réseaux d'espionnage Alliés. Ce n'est pas indiqué "noir sur blanc", mais c'est évident qu'ils sont tout de même bien renseigné).

Voici quelques pages du rapport, les "Foo Fighters" sont mentionnés dans la table des matières (seconde photo), dans la partie 4 en bas (troisième photo), et la suite du paragraphe sur la page suivante (dernière photo):

 

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Les "Phoo bombs" ont été décrits comme "radio-commandés, à propulsion par réaction, arme à courte portée, de haute performance, des armes "de proximité" à utiliser contre les formations de bombardement". Leur vitesse a été estimée à 525 miles par heure (845 km/h).

Des demandes ont été faites, par le biais de la Loi FOIA (4) pour tenter d'obtenir les données brutes utilisées pour réaliser cette évaluation. Elles furent suivit d'un refus, mais finalement après un appel, le gouvernement a tout de même indiqué que de plus amples renseignements concernant les "Phoo bombs" existaient bien. La plupart étaient des copies du document de synthèse, avec des annotations de travail. Un document avait été écrit à la main et peut-être servi de texte de base, ou de brouillon pour le rapport.

 

Ce qu'avait découvert durant la guerre les services de renseignements Alliés sur les "Foo Fighters".

Donc, les Alliés savaient ce qu'était réellement les Foo Fighters. Mais il semble que l'Air Force n'ait jamais eu connaissance de l'utilisation précise de ces engins. D'une menace pour les moteurs d'avion en provenance d'une augmentation de l'ionisation de l'air autour des dispositifs d'allumage. De même, qu'ils possédaient des tubes de klyston qui étaient pulsé à la même fréquence que les radars Alliés et ainsi devenaient indétectable au radar de bord ne leur était pas connu non plus. Mais l'établissement qui avait mis au point le système à base de tubes de Klyston, avait été identifié (on trouve sa trace dans un autre rapport). La FFO, c'était "l'institut de recherche radio de l'aéronautique à Oberpfaffenhofen", qui fût désigné comme étant l'inventeur du dispositif.

Le Sous-Comité des objectifs combinés du renseignement, publia un rapport sur cette installation, le Rapport N°156. Ceux qui travaillèrent sur la recherche sur les tubes de klystron, rendirent comme conclusion, que l'une des principales fonctions de ces installations avait été d'inventer la technologie radar capable de contrer celle des Alliés. Malheureusement, tous les documents secrets détenus dans cet établissement avait été brûlé, lors de l'avancée des Alliés. Des scientifiques Allemands, arrêtés et interrogés, ont produit plus tard une copie des documents, dont ils se souvenaient et sur lesquels ils avaient travaillés. Cela constitua ce que les équipes d'intervention, et les services de renseignements alliés avaient pût apprendre. Mais il semble que ce ne soit qu'un échantillon et que tous les renseignements furent bel et bien perdus, dans la débâcle de la fin de la guerre.

D'autres recherches très poussées ont été réalisées par les installations du FFO, qui méritent d'être mentionnés. Elles ont non seulement fait un travail sur les tubes de klystron mais aussi sur les magnétrons. Ils ont aussi travaillé sur la capacité de générer des ondes radio, dans des gammes de fréquences du millième de hertz, par l'utilisation des vibrations du cristal. Ils ont également expérimenté les "cristaux" de silicium et de germanium. Ces deux substances figurent en bonne place dans la fabrication de ce que nous appellerions aujourd'hui, les "semi-conducteurs", et qui forment la base du transistor (5).

 

Le silence du gouvernement Américain sur les "Foo Fighters", et sur les autres armes secrètes Allemandes.

Les Etats-Unis avaient donc bien connaissance de la réalité des Foo Fighters, en tant qu'armes de guerre, conçues et fabriquées par les Nazis. Il convient de noter que tous les documents existants ont été écrits pendant la guerre. Aucune mention n'est faite de "Phoo bombs" ou de "Foo Fighters" dans les documents officiels classés secrets, écrits est publiés après-guerre. 

Peut-être des prototypes ou du moins des plans de ces engins volants doivent avoir été récupérés. 

De plus, il faut noter que le document découvert décrit plusieurs autres systèmes d'armes, qui jusqu'à présent n'ont pas encore étaient divulguées par le gouvernement des Etats-Unis: 

Cela inclut des fusées Allemandes plus grandes que la fusée V-2. Le document indique "68 pieds de longueur contre 45 pieds". Le chiffre de 45 pieds signifie la V-2, tandis qu'une fusée de 68 pieds comparable à la V-2 est totalement inconnu. (Comme vous pouvez le voir marqué sur cette page du rapport, dans la partie "2. V-2", dans "b. 1945 Potentiel", les trois dernières lignes à la fin du paragraphe).

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Dans ce même document figure une description d'un gaz de combat destiné à détruire les avions ennemis. En fait, il y a deux "armes à gaz" citées comme exemple. Le gaz est conçu pour entraîner la destruction du moteur en pré-allumage. Le deuxième gaz est conçu pour provoquer l'arrêt du moteur en le figeant. En y entrant grâce au système de ventilation, pour provoquer la viscosité de l'huile de graissage du moteur. 

Enfin, le document décrit quelque chose que les Américains appellent le "Magnetic Wave", mais que les Allemands ont toujours décrit comme le "Motorstoppmittel", qui signifie littéralement, "les moyens d'arrêter les moteurs". Par "Motorstoppmittel", ils voulaient en fait parler d'une arme "à ondes magnétiques". Non seulement les Allemands voulaient utiliser l'ionisation de l'atmosphère pour stopper les moteurs à l'allumage, mais ils ont aussi peut-être expérimenté des "armes à rayons", de toutes sortes. Voici la page, dans le deuxième paragraphe, "5. MAGNETIC WAVE":

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En ce qui concerne les "Foo-Fighters", le lieu le plus probable pour le développement et pour la construction est certainement le site Autrichien de Wiener-Neustadt. Les travaux ont été une combinaison du savoir-faire et des capacités de production de plusieurs entreprises: le Wiener-Neustaedter Flugzeugwerke GmbH, la Flugzeugbau der Hitenberger Patronenfabrik, le Flughafenbetriebsgesellschaft Wiener-Neustadtand, et la Wiener Neustaedter Lokomotiv-Fabrik, qui a été acquise par Henschel après l'unification de l'Autriche et de l'Allemagne.

Il s'agissait d'un projet du Bureau SS-E-IV, à Wiener-Neustadt, conduit est expérimenté avec l'aide de la FFO. Que ces engins aient une origine, dût à une recherche indépendante, en dehors du champ d'application d'autres programmes, n'est pas étonnant en soi. C'était leur façon de faire, de laisser une certaine liberté de mouvements aux chercheurs. Et de les laisser faire des recherches à leur guise, de manière en quelques sortes "autonome" (6). Les "Feuerball" Allemands étaient dans la lignée des soucoupes. Mais un modèle téléguidé, réagissant de façon plus ou moins "automatique", sans pilote. Il est possible que les deux engins furent étudiés et mis au point de manière indépendante. Mais ils devaient tous avoir pour supérieur, l'officier SS Hans Kammler, responsable des projets les plus secrets, comme sur les soucoupes volantes Nazis, et les autres domaines de recherche s'y rapportant (7).

 

Des "Foo Fighter" ramenés aux Etats-Unis ?

Il n'existe pas de "preuves" proprement-dites que ces "Foo Fighters", soient tombés aux mains des Américains à la fin de la guerre. Mais il y a tout de même une chose que tout le monde oubli trop souvent, les Foo Fighters étaient aussi visibles sur le front du Pacifique, ce qui veut dire que les Japonais disposaient eux-aussi de cette technologie (fournie bien-sûr par l'Allemagne). Et bien-sûr, les troupes Américaines occupèrent le Japon, après la capitulation. Alors, ils n'ont peut être pas réussit à mettre la main sur les "Feuerball" Allemands, mais quant est-il de ceux qui étaient utilisé par l'armée Niponne ? Il se pourrait très bien que les Américains en est trouvé des exemplaires sur le sol Japonais. 

Si tel était le cas, ils les auraient certainement reproduit et auraient sûrement procédé à des essais, dans le désert, au sud-ouest des Etats-Unis (où ils ont d'ailleurs testé les fusées V-2).

On rapporta des observations qui débutèrent en juillet 1947 impliquant ce que l'on appela à l'époque, les "boules de feu vertes". Ces curieuses "boules" volaient toujours la nuit, à l'horizontal, quelques fois à plusieurs et en formation. Mais toujours sans le moindre bruit. La taille approximative et leur capacité de mouvement, ainsi que leur vitesse, font naturellement penser aux Foo Fighters. Ces "boules de feu vertes" étaient peut être des "Foo Fighters" récupérés après la guerre ou bien alors, une tentative de l'armée Américaine de reproduire cette technologie Allemande (8).

 

(1) Cela veut dire que les Japonais utilisaient aussi des Foo Fighters. Malgré la distance, il y a eu en fait de nombreux échanges technologiques entre l'Allemagne et le Japon. Qui sait ce que les Américains ont pût y trouver après la guerre.

(2) Des anciens membres de l'armée Américaine, et aussi dans la communauté du renseignement, ont quelques fois parlé "d'un canon d'un modèle inconnu" tirant une "arme spéciale", qui aurait été rapatriée aux Etats-Unis après la guerre.

(3) Ils tiraient rarement dessus, car ils pensaient qu'ils risquaient de les faire exploser en tirant, alors qu'ils se trouvaient aussi près de leur appareil. Les mitrailleurs de bombardiers qui l'on fait, ont raconté que lorsqu'ils tiraient sur les foo fighters, cela n'avait l'air de ne rien leur faire, ou que les tirs avaient l'air de "passés au travers". Mais il y a eu aussi des histoires après la guerre, sur des "canons" qui tiraient des "sphères de couleur" qui avaient l'air transparentes, qu'ils appelèrent des "bulles de savon" (aujourd'hui on appellerait ça des "boules de plasma"). Alors, y avait-il une autre sorte de foo fighters, plus perfectionné, lié à une autre technologie ?

(4) La loi FOIA (Freedom of Information Act) est une loi qui oblige les agences fédérales à transmettre tous documents déclassifiés, à quiconque en fait la demande.

(5) L'invention du transistor est créditée à William Shockley, ce qui lui a valu le Prix Nobel, deux ans environ après la Seconde Guerre mondiale.

(6) C'est peut-être en partie grâce à cette façon de faire en donnant, "du champs libre" à ses savants, (chose allant totalement à l'inverse de la manière Américaine où ils leur fallait des autorisations pour tout), que les scientifiques Allemands découvrirent de nombreuses innovations technologiques.

(7) Pour plus d'informations sur la recherche Nazie sur les soucoupes, voir : "Les soucoupes volantes Troisième Reich", dans la catégorie "Armes secrètes Allemandes".

(8) Il y avait aussi des ovnis de forme sphérique, mais qui, de par leur vitesse extrême, ne pouvait pas être confondu avec les Foo Fighters. Pour plus d'informations sur les observations des "boules de feu vertes", voir "Les "Black Program": Le Projet Twinkle", dans la catégorie "Les programmes secrets".

 

Sources:

"Intercept OVNI", par Renato Vesco, Editions Pinnacle Books Inc, 1976;
"Made Man OVNIS 1944-1994", 
par Renato Vesco, Editions Adventures Unlimited Press;

United States Air Force, 1944, "German Capabilities Evaluation in 1945", Maxwell Air Force Base, Alabama, Etats-Unis (d'autres informations relatives aux Foo-Fighter peuvent être consultés sur microfilm, les rouleaux A-1007-1652 et A-5729-2040);

Sous Comité des Objectifs Combiné du Renseignement. Rapport N°156 sur la "FFO Oberpfaffenhofen Forschungsinstitut Flugfunk";

Rapport "Projet de recherche allemand", Deuxième partie: "Les allemands et les américains, Témoignages gouvernementaux", CP, Gorman, CA. 93243-0007;