ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE: LA CONTRE-ENQUÊTE (Partie 49)
Quant est-il de l'information de la mort d'un passager tué par balle sur le Vol 11 ?
Une information reçu le jour même du 11 septembre, rendra-compte qu'un passager (Daniel Lewin) avait été abattu avec un pistolet dans le Vol 11. L'information se basait d'après les informations données par deux hôtesses de l'air du Vol 11. Cette mort sera évoquée, entre autre, dans un rapport de la FAA, indiquant la présence d'armes à feu, alors que la version officielle ne parle que d'armes blanches. L'heure de la mort se produisant "à 9h20", et l'indication du crash du Vol 11 "à 9h25" (donc respectivement 34 et 39 minutes après que le Vol 11 ait officiellement percuté la première tour). Montrant ainsi une incohérence non négligeable. On peut toujours penser à une simple erreur, mais nous savons que les appels téléphoniques en provenance des vols sont tous fabriqués (1).
Le rapport de la FAA, rédigé dans la soirée du 11 septembre.
Cet évènement figurera dans un rapport écrit par la FAA dans la soirée du 11 septembre, qui indiquera qu'un homme avait été abattu avec un pistolet dans le Vol 11. Information relatée par Suzanne Clarck du Quartier-Général de la FAA, à l'inspecteur principal de sécurité (PSI), disant que le passager situé dans le siège 10B (Satam Al Suqami) a tiré et tué un passager dans le siège 9B (Daniel Lewin), après que les deux membres d'équipages dans le cockpit ne soient poignardés, d'après un appel en provenance du Vol 11, au Centre d'Opération de la compagnie (relaté pendant la seconde audience du 23 mai, document ci-dessous). Ils en concluront que ce devait être un rapport erroné, après que American Airlines et le FBI se soient entretenu sur cette question, et nieront tous les deux en avoir eu connaissance. Mais comment cette information pourrait-elle être fausse et inconnu du FBI et de la compagnie alors que, comme nous le verrons, des rapports seront rédigés par le FBI les 11 et 12 septembre 2001, à partir des appels des hôtesses de l'air Betty Ong et Amy Sweeney à American Airlines ? (Nous allons y revenir).
Traduction:
MR. LEHMAN: "Nous avons une copie d'un résumé, et laissez-moi vous lire le deuxième paragraphe de la discussion du Vol 11. "A environ 9h18 du matin, il a été signalé que les deux membres d'équipage dans le cockpit ont été poignardés. Le vol est alors descendu avec plus aucune communication de la part des membres d'équipage. L'inspecteur de sécurité principal de la FAA de American Airlines s'est vu notifiée par Suzanne Clark du Siège de l'entreprise American Airlines qu'un agent de bord à bord du vol était en contact avec un centre des opérations d'American Airlines et les a informés qu'un passagers situé dans le siège 10B avait tiré un coup de feu et tué un passager dans le siège 9B à 9h20. Le passager tué était Daniel Lewin, abattu par le passager Al Saddam Suqami. Une balle a été signalée avoir été tirée.
Dans les demandes ultérieures de la FAA, nous n'avons pas été en mesure de confirmer ce qui a eu lieu."
Ce que l'on remarque tout-de-suite, c'est bel et bien l'ambiguïté de cette information dans sa formulation. D'après le résumé, cité pendant l'audience, on a vraiment l'impression que les appels téléphoniques semblent s'être produits au moment même des faits, entre 9h18 et 9h20. Effectivement, comment l'appel pourrait-il provenir du Vol 11, informant à 9h18 de la mort des deux pilotes, et à 9h20 de la mort de Lewin, alors que normalement, le Vol 11 percute la tour nord du WTC à 8h46 ?
Cette information sera par la suite "corrigée" par la FAA.
Cette information relatant la mort de Lewin aurait été par la suite "corrigée", dans un rapport rédigé par Jane Garvey, Administratrice de la FAA:
"Selon la porte-parole de la FAA Brown Laura, le passage à propos du pirate Satam al-Suqami tirant et tuant l'un des passagers Daniel Lewin avec une seule balle sur le vol au départ de Boston, a été "corrigé" ce jour-là dans une "Synthèse finale" de Garvey. Le brouillon présumé a été écrit plus tôt à 17h31" (WorldnetDaily du 7 mars 2002, link).
Autre chose étonnante, on apprend par l'interview de Laura Brown, que lorsque les journalistes demanderont à avoir une copie de la synthèse finale rédigée par Garvey (que la Commission appelle un "résumé"), la porte-parole la leur refusera, en disant que le document fait partie des "informations protégées". Pourquoi maintenir secrète une information qui serait erronée ? Surtout qu'à ce moment, le rapport corrigé avait déjà été rendu public ("EXECUTIVE SUMMARY - September 11, 2001", rapport ci-dessous):
Le refus de Brown, montrerait que la FAA ne souhaite pas que la note d'information originale (non corrigée) soit divulguée publiquement (et elle n'a pas encore été déclassifiée).
En fait, un élément de réponse nous est apporté par un ancien employé (qui avait démissionné en 1999 de la FAA) et qui avait gardé des liens avec ses anciens collègues de travail. Il déclarera au sujet de Laura Brown: "Elle a participée à l'écriture, la teneur et la remise du rapport", "Elle l'a remis en main propre Garvey au 10ème étage".
Donc, ce n'est pas Jane Garvey qui aurait rédigé la synthèse finale (celle corrigée), mais la porte-parole Laura Brown elle-même. Et pour la version officielle, la rédaction du document aurait été attribuée à Garvey, alors qu'en fait, elle ne l'aurait jamais écrit.
Brown continuera malgré tout à soutenir qu'il n'y avait pas d'arme à feu sur le Vol 11 et prétendra qu'il s'agissait d'un malentendu entre la FAA et le Siège d'American Airlines. Mais ce ne seront pas les seules "erreurs", que la synthèse contiendra.
En effet, il y est indiqué dans le résumé sur les attentats, que le Vol 11 s'écrase à 9h25, alors que officiellement, il s'écrase sur le WTC à 8h46 (voir le document figurant plus haut). Et une autre erreur concernant l'identité d'un passager du Vol 93. Le passager nommé Christian Adams, y devient "Christine" Adams.
En fait, cela confirme ce que nous avons déjà compris. Ce ne sont pas les Vols réels, les Vol 11 et 175 qui s'écrasent sur le WTC (ils sont à un moment donné, comme les deux autres, remplacés par des Boieng téléguidés, pilotés à distance). Et les vols réels, détournés dans le cadre d'exercices de simulation, les équipes d'intervention les feront se poser sur un aéroport prévu à l'avance (comme nous l'avons déjà vu, les quatre avions du 11 septembre ont pu en fait se poser n'importe où). Mais ce document nous donne une indication importante sur l'heure possible à laquelle on aurait fait atterrir le Vol 11 (9h25). En fait, l'avion ne se serait bien-sûr pas "écrasé". Si il n'apparait plus sur les écrans radars à 9h25, c'est justement qu'il a pu atterrir à cette heure-là. Et s'il disparait des écrans, c'est simplement parce qu'il s'est posé et qu'il se retrouve alors sous la couverture radar.
On notera au passage que cette indication d'un possible atterrissage à 9h25, coïnciderait avec l'heure de l'ordre de décollage pour les F-16 de la base de Langley, qui sera donné à 9h24 (ils décolleront à 9h30). Envoyé pour intercepter le fameux "vol fantôme 11" (signalé à deux reprises à 9h20 puis 9h23), en fait un faux écho radar qui prendra le relais, après l'impact du premier Boeing sur le WTC à 8h46.
La version du résumé de la soiré du 11 septembre, dira que l'appel au centre des opérations de la FAA (en fait c'était celui de Fort Worth), aurait été passé par les hôtesses de l'air. Où les choses montrent bien que l'origine de l'information de la mort d'un passager par balle sur le Vol 11, devient vraiment problématique, c'est que ni Ong, ni Sweeney n'ont jamais appelées un centre des opérations d'American Airlines. Officiellement, Ong a téléphonée au "Centre des réservations du sud-est d'AA", et ne parle pas d'un passager tué par balle dans la conversation. Et Sweeney a appelée le "Bureau administratif d'American Airlines" à l'aéroport Logan à Boston. Et lors de son appel, Sweeney a dit que le passager du siège 9B avait été tué d'un coup de couteau à la gorge, et non par balle. Un autre élément fait que l'appel de Swenney deviendra encore plus suspect. Lors du procès Zacharias Moussaoui en 2006, il y aura une autre version des circonstances de l'appel de Swenney (d'après une bande enregistrée, qui n'avait jamais été diffusée jusque-là). D'après cette nouvelle version, ce serait Michael Woodward (gestionnaire des vols d'American) qui aurait répété la conversation à l'employé Nancy Watt, et cette dernière l'aurait répétée à Ray Hawland, du centre des opérations de Forth Worth (et c'est ce compte-rendu qui aurait alors été enregistré). Alors, selon la seconde version, Sweeney n'aurait jamais téléphonée à Forth Worth, alors que c'était cette version qui avait été présentée dans le résumé de la FAA le soir même du 11 septembre.
Au-delà de l'explication confuse de la FAA, c'est bien la provenance première de l'information qui pose problème. C'est bien l'origine de l'information elle-même, et non le simple fait qu'il y aurait ou non une "erreur" dans le compte-rendu de l'information en question.
Cela démontre une fois de plus que, si les appels de deux "agents de bord" du Vol 11, sont bien parvenu à la FAA dans la matinée du 11 septembre, il ont dû avoir été passés par ceux qui produisent les appels téléphoniques fabriqués (dans le cadre des exercices de simulation de détournement), censés provenir des avions détournés (2).
L'information était parvenue au centre des opérations de la FAA vers quatre heures de l'après-midi.
Plusieurs rapports du FBI seront rédigés les 11 et 12 septembre 2001, sur les appels des deux hôtesses de l'air: Elysabeth "Betty" Ong et Madeline "Amy" Sweeney.
Rapports sur l'appel de Betty Ong reçu au "Centre des réservations du sud-est d'AA" basé à Cary en Caroline du Nord, qui est appelé le "AA Southearstern Raleigh Reservations Center" (il en existe plusieurs versions):
- Rapport relatant le contenu de l'appel (version réalisée d'après les témoignages), link;
- Rapport dans lequel l'hôtesse est simplement nommée "Ong", décrivant un appel reçu à 7h59 par Vanessa Minter (donc 15-20 minutes avant l'heure officielle du détournement. A cet instant, le Vol 11 est en train de décoller), link;
- Rapport relatant le contenu de l'appel où le nom de famille de Ong est inconnu, elle y est nommée seulement "Betty" (version réalisée d'après les témoignages), link;
- Rapport relatant le contenu de l'appel dans lequel Ong commence par dire qu'elle se trouve dans le Vol 12, avant de dire plus loin qu'elle est dans le Vol 11 (version réalisée d'après un re-enregistrement) link;
- Rapport de la retranscription de la conversation dans laquelle Ong dit seulement qu'elle est dans le Vol 11 et ne parle plus d'un Vol 12 (autre version réalisée d'après un enregistrement) link;
Les rapports du FBI décrivant l'appel de Swenney:
- Rapport du 11 septembre. Contenu de l'appel obtenu auprès du Centre des opérations d'American Airlines à Forth Worth (dans lequel Sweeney est appelée "Sweeny"); et rapport du 12 septembre avec le contenu de l'appel établit auprès du Bureau administratif d'American Airlines à l'aéroport Logan à Boston, link;
Et Sweeney dit à deux reprises que le passager égorgé se trouve en classe affaires ("...que l'un des pirates de l'air a coupé la gorge d'un passager en classe affaires" et "que le passager en classe affaires a été poignardé"). Mais la Commission écrira dans son rapport: "Sweeney signale avec calme que l'avion a été détourné; un homme a eu la gorge tranché en première classe;..." (page 6 version US et page 24 version Française). Et pour Ong: "A 8h19 elle explique: "le cockpit ne répond pas. Quelqu'un a été poignardé en classe affaires..."." (page 5 version US et page 23 version Française où la version Française comporte une erreur en disant "en première classe"). Le siège 9B de Lewin est officiellement en classe affaires. Donc, d'après le rapport de la Commission lui-même, les informations données par les deux hôtesses de l'air se contredisent, et ne correspondent pas aux informations contenues dans les rapports du FBI.
Parce que, si Lewin se fait trancher le gorge en classe affaires (d'après la la position officielle des passagers), qui est celui qui se ferait égorger en première classe ? Aurions-nous deux passagers s'étant fait égorger ? Mais dans ce cas, pourquoi ne parler que d'un seul ? Ou bien alors, peut-être Lewin était-il en première classe et non en classe affaires. Et si Lewin n'est pas en classe affaires, il ne peut pas être tué par le pirate de l'air placé derrière lui (cela ferait que, si Lewin est bien égorgé par Al Suqami, ce dernier n'était peut-être pas en classe affaires lui non plus, mais en première classe). Et alors, cela veut dire que la place officielle des passagers dans le Vol 11 serait fausse ! Donc, le manifeste de vol aussi. (Je vais volontairement aussi loin dans le raisonnement, pour montrer à quel point il n'est pas simple de fabriquer une version officielle, avec des éléments de preuves fabriqués, parce qu'il vient forcément un moment où la contradiction vous rattrape).
On voit bien que les informations données, par les appels, soi-disant passés à partir du Vol 11, sont réalisé par des personnes racontant en fait plus ou moins n'importe quoi (pourvu de faire croire que les passagers sont dans les avions qui s'écrasent et que les avions sont détournés par des terroristes du Moyen-Orient). Le reste étant pour la Commission, de tenter de donner quelque vraissemblance, à ce que l'on voudra nous faire croire pour la version officielle.
Le FBI déclarera lui-même que l'histoire d'une arme à feu sur le Vol 11, n'avait pas comme source la FAA (mais sans dire d'où elle venait, ni qui était la source). Alors, si un appel s'est bien produit dans la matinée, si le centre des opérations de la FAA a été mis au courant à quatre heure de l'après-midi, et qu'un premier brouillon sera rédigé sur la base de cette information à 17h31, comment se fait-il que l'information qui parviendra au FBI, ne provenait pas de l'aviation civile ?
Comment y-a-t-il pu y avoir l'indication d'un passager tué par balle d'un tir de pistolet, alors que les appels des hôtesses n'en font pas mention ? Que le rapport serait "erroné", cela est vérifiable d'après les rapports du FBI. Mais ça n'explique pas tout. On ne se focalise que sur la mort de Lewin est la présence éventuelle d'arme à feu, mais quant est-il de l'autre information, du crash du Vol 11 à 9h25 ? (cela on en parle jamais). Comme on dit, "il n'y a pas de fumée sans feu" et ces informations - d'ailleurs Dzakovic nous le confirme - ne pouvaient provenir que d'une source crédible (donc, capable de se faire authentifier).
Nous rencontrons ce que nous avons déjà abordé, la transmission régulière d'informations (vrais ou fausses) par des personnes liées aux attentats (3).
Si il n'y pas d'arme à feu et que le Vol 11 n'est plus en train de voler entre 8h46 et 9h25, d'où viennent les renseignements qui diront le contraire, et aboutiront à une transmission par cette "source crédible" ? En clair, qui avait la capacité d'être aussi bien renseigné ? D'avoir des informations, "que les autres n'ont pas". Voilà la question. Ceux qui se chargent des opérations de détournements, pour les exercices de simulation, semble être la réponse la plus évidente.
Donc, il faut tenir compte du fait que les individus qui détournent le Vol 11 détiendraient des armes à feu (ce qui est en fait indispensable, quand on veut détourner un avion). Mais dans le cadre d'un exercice de simulation (ce que sont en définitive les détournements), ils n'utilisent normalement jamais d'armes chargées à balles réelles (ou alors elles le sont à blanc). Donc on peut se demander si ce passager dans l'avion a pu être tué avec un pistolet, et même, si en fait il a bien perdu la vie. Et s'il s'agissait plutôt d'une "mise en scène" préparée à l'avance, pour tester la réaction de l'équipage ?
Soit il se serait vraiment passé quelque chose à l'intérieur de l'avion, par la mise en scène de la mort de Lewin (exercice d'entrainement sur le terrain: "simulation réelle"). Ou le but était de simplement faire croire à la mort d'un des passagers par balle, par la diffusion d'une fausse information (exercice de simulation simple: "exercice simulé"). Cela pourrait coller avec un tel exercice. Vu que, comme nous l'avons déjà étudié précédemment, le 11 septembre nous aurons aussi deux types de détournements différents. Les "détournements réels" par les équipes d'intervention (les vols 11,175,77 et 93) et au moins onze autres vols qui seront considérés par la FAA comme des détournements potentiels (en fait des "détournements simulés", en faisant simplement croire que les avions sont détournés, par divers moyens) (4).
Surtout que le passager en question s'y connait très bien en matière d'actions terroristes, tout comme anti-terroristes.
Intéressons-nous de plus près à son curriculum vitae. Lewin est né le 14 mai 1970 à Denver, dans le Colorado. Mais il a grandi avec sa famille à Jérusalem. Après l'obtention de deux diplômes de premier cycle au "Technion" (Université de technologie d'Israël), il a travaillé comme chercheur à plein temps dans les laboratoires d'IBM à Haïfa. Après avoir fait son service dans l'armée Israélienne, il reviendra aux Etats-Unis en tant qu'étudiant diplômé et assistant d'enseignement au MIT (Massassuchetts Institute of Technology), où le "World Wide Web Consortium" (dirigé par l'inventeur de l'Internet lui-même, Tim Berners-Lee avait été fondée). Il avait aussi remporté le prix "Morris Joseph Lewin Award" pour le meilleur travail dans la présentation de sa thèse en 1998, alors qu'il était étudiant pour son doctorat. Il faisait partie du "groupe des algorithmes" dans le laboratoire du MIT pour l'informatique (The Guardian du 15 septembre 2001, link).
Alors qu'il était encore assistant d'enseignement, il sera le co-fondateur d'Akamaï Technologies en septembre 1998, avec le professeur F. Thomas Leighton du MIT. L'apport initial de capital pour la création de la société viendra de deux sociétés "capital-risque": "Battery Ventures" de Wellesley dans le Massassuchetts et "Polaris Venture Partners" de Boston et Seattle, qui mettront 8 millions de dollars dans l'affaire. Cette société est spécialisée dans les nouveaux algorythmes, pour faciliter le transit de l'information et à la garantie de l'accès aux sites internet, en évitant un engorgement des données, et des audit pour la sécurité des données en entreprises en fournissant des systèmes informatiques sécurisés contre le piratage).
(3) Pour plus d'information, voir "Attentats du 11 septembre: La contre-enquête (Partie 38).
(4) Pour plus d'information, voir "Attentats du 11 septembre: La contre-enquête (Parties 28-30).
"11 septembre - Rapport de la Commission d'enquête - Rapport final de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les Etats-Unis", (édition Française), Editions des Equateurs;
www.9-11commission.gov;
www.govinfo.library.unt.edu;
www.media.nara.gov;
www.jewishvirtuallibrary.org;
www.highbeam.com;
www.akamai.com.