ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE: LA CONTRE-ENQUÊTE (Partie 60)
En conclusion, les attentats du 11 septembre étaient bien un complot interne commit par de hauts responsables de l'Administration Bush.
Au terme de cette contre-enquête sur les attentats du 11 septembre, je peux dire que cet évènement était bien un complot interne à l'administration Bush. Pour ceux qui voudraient les éléments sur lesquels s'appuient une telle affirmation, les cinquante neuf articles précédents, présentent, analysent et expliquent les faits tout comme leurs relations et leurs conséquences dans les attentats. Tout étant sourcés et très souvent vérifiables par des liens.
En guise de conclusion, j'ai voullu présenter ici comment j'ai abordé les attentats, ce qui m'a aidé à trouver les pistes à suivres, et comment on peut voir et affimer finalement que le 11 septembre était bien un complot prprement-dit et non un acte terroriste isolé. Tout comme l'infrastructure et la logistique qui a permis sa réalisation, et sans doute le principal en fin de compte, d'où provenait le plan de l'opération.
La première difficulté qui ressort quand on se penche sur les attentats du 11 septembre, c'est leur appartente complexcité (qui doit en arranger plus d'un). Tout comme la croyance répendue depuis plus de dix ans, qu'il n'existerait aucune preuve infirmant la version officielle, et qu'il n'y aurait pas d'éléments concrets et concordant, qui permettraient de comprendre comment les évènements se seraient effectivement passés (mais comme nous l'avons vu avec l'étude du 11 septembre - tous les articles précédents - ce n'est nullement le cas, bien au contraire).
L'hypothèse de travail du départ: Aller simplement à l'inverse des prinicpales affirmations de la version officielle, pour connaitre les pistes à suivres.
La première chose à faire, si l'on veut connaitre la vérité sur les attentats, c'est de faire abstraction de la version officielle, mais jusqu'à un certain point. Nous savons dès le début (d'après le commissaire Ben Veniste lui-même durant la deuxième audience de la Commission), que la version officielle des attentats est une version fabriquée, et cette contre-enquête nous a bien prouvée que les évènements se sont en fait passés d'une manière totalement différente.
Donc il faut aller totalement à l'inverse des affirmations de la version officielle, pour commencer à y voir plus clair. Puisque nous savons que ce qu'elle veut nous faire croire ne corresponds pas aux faits.
1) La Commission affirme que les 19 "pirates de l'air" d'Al-Qaïda se trouvent répartis dans les quatres vols du 11 septembre. Donc, cela veut dire que les "pirates de l'air", ne sont pas sur les Vols 11, 175, 77 et 93 qui seront détournés.
2) La Commission affirme que les quatre avions ont été détournés par les 19 "pirates de l'air" d'Al-Qaïda.
Donc, on peut considérer que ce ne sont pas eux qui les détournent (pusiqu'ils ne se trouvent pas dans les avions). Mais une chose est vrai, c'est que les Vols 11, 175, 77 et 93 ont bien été détournés le 11 septembre.
3) La Commission affirme que les Vols 11 et 175 s'écrasent sur le WTC, que le Vol 77 s'écrase sur le Pentagone et le Vol 93, à Shanksville en Pennsylvanie. On peut donc en conclure que ces quatre avions (les vols réels) ne se sont jamais écrasés.
Mais les quatre avions sont bien détournés, durant la matinée du 11 septembre. Et que se passe-t-il dans la majorité des cas, quand un vol commercial est détourné ? Et bien il n'arrive pas à destination (ce que nous avons bien avec les Vols 11, 175, 77 et 93) et il se retrouve à atterrir sur un aéroport où bien-sûr il n'aurait normalement pas dû se poser. En suivant cette hypothèse - qui, comme nous l'avons vu se vérifie - et bien nous voyons bien que les quatre avions détournés, ne l'ont en fait pas été par Al-Qaïda. Et cela confirme deux hypothèses avancées au début:
- Que ce ne sont pas les "pirates de l'air" d'Al-Qaïda qui détournent les quatre avions (donc qu'ils ne se trouvent pas sur les vols);
- Que ce ne sont pas les Vols réels qui s'écrasent (réellement sur le WTC et d'après la version officielle sur le Pentagone et en Pennsylvanie).
Si l'on se base sur ces hypothèses de départ (hypothèses de travail) qui nous donnent aussi les pistes à suivres, on s'aperçoit avec surprise, qu'elles se trouveront être confirmées par la suite, par l'étude des attentats.
La majorité des enquêteurs (principalement Américains, qui publient des ouvrages) n'arrivent pas à résoudre le 11 septembre, parce qu'ils partent tous d'un postulat de départ qui est faux: "Que ce sont les "pirates de l'air" d'Al-Qaïda sont bien dans les quatre avions, qu'ils les détournent, et que ce sont les vols réels qui s'écrasent". Et alors que ces mêmes enquêteurs disent la plupart du temps eux-mêmes, que la version officielle ne dit pas la vérité, ils sont incapables de raisonner en dehors de la version officielle. Ce qui fait qu'au bout du compte, ne trouvant pas d'explications cohérentes avec la version officielle, ils ne font généralement que tourner en rond. Pour finir par revenir à leur point de départ: "La version officielle est fausse, et nous avons énormément de questions sans réponses. Le 11 septembre reste un mystère".
D'autant plus que, pour bien comprendre comment les choses se passent, il ne faut jamais perdre de vue les attantats, par rapport à plusieurs perspectives:
- Ce que sera la version officielle;
- Ce qui est connu de la Commission, et ce dont elle tient quelques fois compte dans son rapport, mais qu'elle cache. Généralement parce que ces informations apportent des éléments permettant de comprendre comment les choses se sont réellement passées;
- Ceux qui s'occupent de réaliser les exercices de simulations prévus le 11 septembre;
- Ceux qui sont réellement dérrière les attentats et qui "tirent les ficelles" (donnent les ordres) et ceux qui les réalisent concrètement (détourner les vols réels; faire s'écraser les Boeing téléguidés sur le WTC; piéger et faire sauter les tours jumelles et l'aile du Pentagone).
Il faut toujours garder à l'esprit ce point de vues de perspectives multiples, pour bien comprendre les attentats. Comme savoir garder une vision d'ensemble, tout en repérant les faits isolés et leur implication dans la réussite de l'opération et leur importance dans le plan. Cela est impératif parce que le piége dans lequel on peut facilement tomber, c'est de ne voir les choses que d'un point de vue unique. Et le 11 septembre englobe tellement de choses, qu'il peut y avoir plusieurs interprétations possibles des évènements (mais une seule correspond à toutes les informations disponibles). Il faut donc se référer à un maximum d'information, et comprendre leur importance pour voir leur relation possible ou non dans le plan (si l'information est vrai ou si c'est une invention ou un mensonge de la Commission; si le fait en question est disons "normal" ou "anormal", qui en est à l'origine ? Quel en est la conséquence pendant les attentats ?...etc).
Les attentats, tels qu'ils se seraient réellement produits, correspondent aux informations contenues dans les rapports et documents officiels.
Comme nous avons pu le voir, si l'on suit nos hypothèses de travail de départ, non seulement elles se trouvent confirmées, mais de plus, tout correspond et tout coïncide parfaitement avec les informations disponibles.
Informations parfaitement authentiques, contenues en majorité dans des rapports officiels:
- Rapport de la FAA: "Summary of Events Hijack - 11 september 2001";
- Rapport de la FAA: "Staff Report" du 26 août 2004;
- Rapports du NTSB, "National Transport Safety Board", des 7 et 19 février 2002;
- Rapport de la Commission d'enquête sur le 11 septembre - Rapport final de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les Etats-Unis;
- Les restranscriptions des audiences de la Commission;
- Les différents "Mémorandum pour les archives" de la Commission, qui ont été déclassifiés;
- Les différents rapports du FBI (prinicipalement sur les appels téléphoniques, officiellement en provenance des Vols), quelques-uns de la CIA (principalement concernant les "pirates de l'air") et les documents de la billeterie d'American Airlines.
Ajoutons à cela, principalement des témoignages et informations figurant dans différents journaux et quotidiens (New York Times, USA Today, CNN...etc.).
Contrairement à ce que l'on s'est evertué à faire croire au public, non seulement nous avons la preuve que la version officielle est fausse, mais qu'il y a suffisement d'informations disponibles, pour pouvoir comprendre comment les choses se sont passées.
Comment peut-on dire que les attentats du 11 septembre étaient bien un complot ?
La présence régulière de "menaces radars", ou l'on découvre 16 coïncidences qui n'en sont pas.
Dès le début, nous avons remarqué qu'il y avait un faux écho radar qui avait été produit lors du détournement du Vol 11, à la minute même où l'avion amorce sa descente sur la première tour. Et nous aurons la même chose avec le détournement du Vol 175, avec l'avion qui s'écrase sur la seconde tour.
Donc les avions qui se jettent sur le WTC, sont dans le même temps de leur descente, accompagnés chacun d'un faux écho radar - des "menaces radars" - qui, si elles se produisent à la minute même où les avions amorcent leur descente et s'etteignent au moment où les avions touchent le WTC, elles ne partent pas de la même altitude que les deux Boeing (voilà pourquoi on ne peut les confondre et qu'elles resortent dans les repérages radar).
Cela nous donne donc deux faits qui se sont produits, le même jour, sur le même lieu et qui ont bien-sûr un rapport avec les attentats (puisque l'on voit que ces faux échos radars ont un rapport avec les deux avions qui s'écrasent). Si il y a eu deux "menaces radars" produites lors des détournements des Vol 11 et 175, si l'on suit cette hypothèse - production d'un faux écho radar pour simuler le trajet sur la cible - on peut se demander s'il n'y en aurait eu aussi pour les deux autres (les Vols 77 et 93). Comme nous l'avons vu, on voit bien qu'il y en a eu et on comprend pourquoi nous avons un repérage radar pour le trajet final du Vol 77, alors qu'il n'y a pas d'avion qui s'écrase sur le Pentagone. Et cela se trouvera aussi confirmé avec le Vol 93 devant s'écraser à Washington. Puisque, comme nous l'avons vu, le faux écho radar pour simuler le trajet final de l'avion a bien été produit, et que cette indication figure même dans le rapport de la Commission d'enquête.
Donc pour les quatre avions du 11 septembre, le trajet final sur leurs cibles respectives, a été simulé par des faux échos radars, qui se trouvent être, des "menaces radars" d'origine militaire. Et ce, au moment même où officiellement les Vols 11 et 175 font leur descente sur les tours; que le Vol 77 s'écrase sur le Pentagone et au-dessus de Washington, à l'heure à laquelle le Vol 93 aurait dû arriver au-dessus de la capitale. Nous avons donc quatre coïncidences horaires et quatre coïncidences de lieux. Ce qui fait huit, et ce ne sont pas les seules.
Parce que, on simule alors les crash et officiellement, quels sont les avions qui s'écrasent ? Et bien les Vols 11, 175, 77 et 93 qui seront détournés tous les quatre le 11 septembre. Les heures et les lieux de la production des menaces radars correspondent aux quatre avions détournés ainsi qu'à leur cible respective. Cela nous fait quatre coïncidences supplémentaires. Ce qui nous en fait douze. Sans compter que les quatre Vols décolleront tous en étant retardé. Ce qui fait que s'ils avaient décollés à l'heure, la production des faux échos radars n'auraient alors plus correspondu avec le moment de l'arrivée des avions à proximité de leur cible, donc avec l'heure de la production des différentes "mencaces radars".
Cela pourrait indiquer que le retard de décollage des avions serait intentionnel (de cette manière les détournements se passaient les uns après les autres). Ou bien - et cela corrobore encore le fait que les faux échos radars se basent bien sur les quatre avions pour être produit - si les avions n'ont pas été retardés intentionellement, cela veut dire que ceux qui donnaient les ordres pour réaliser les "menaces radars", ont bien tenu compte du retard de décollage des avions. Donc qu'ils savaient que ces derniers seraient détournés, où les avions devaient se rendre après leur détournement et quand ils arriveraient à destination, àproximité des cibles. Nous avons donc quatre autres évènements identitiques pour les quatre avions (ils décolleront tous après avoir été retardé). Quatre coïncidences en plus. Cela nous fait alors un total de 16 coïncidences !
Combien y aurait-il de chances que le même jour, des faux échos radars prévus pour des exercices de simulation se déroulant le jour même des attentats, soient produits à l'instant et à l'endroit même où les quatre avions détournés (qui décolleront à des heures différentes après avoir été retardés), amorceront leur descente sur les cibles, trois objectifs qui seront effectivement touchés le 11 septembre (WTC et Pentagone), et qui devait l'être pour le dernier (la Maison Blanche ou le Capitole à Washington) ? Il est définitivement impossible que cela soit un simple hasard, ou un simple enchainement de situations qui se seraient produites par accident.
L'évidente correspondance entre les "menaces radars" prévues pour les exercices de simulation et le déroulement des attentats.
Ces "menaces radars" ne peuvent être produites que par les militaires (il n'y a que l'US Air Force et l'US Navy qui disposent de cette technologie). Alors, la question qui vient à l'esprit est: "Comment les militaires pouvaient-ils savoir à l'avance que les quatre vols allaient être détournés le 11 septembre ?
En nous basant d'après le faits et la version officielle:
Comment pouvaient-ils savoir que le Vol 11 décollerait avec 14 minutes de retard à 7h59, qu'après son détournement il prendrait le chemin de New York, amorcerait sa desente sur le WTC à 8h44, pour s'y écraser à 8h46 ?
Comment pouvaient-ils savoir que le Vol 175 décollerait avec 14 minutes de retard à 8h14, qu'après sont détournement il prendrait le chemin de New York, amorcerait sa desente sur le WTC à 9h00, pour s'y écraser à 9h03 ?
Comment pouvaient-ils savoir que le Vol 77 décollerait avec 10 minutes de retard à 8h20, qu'après sont détournement il ferait demi-tour pour revenir à Washington, amorcerait sa desente sur le Pentagone à 9h32 en réalisant un vol en spirale, pour s'écraser sur l'aile 1 du bâtiment à 9h38 ?
Comment pouvaient-ils savoir que le Vol 93 décollerait avec 41 minutes de retard à 8h42, qu'après sont détournement il prendrait le chemin de Washington, où, s'il ne s'était pas officiellement écrasé auparavant à Shanksville, il aurait dû amorcer sa desente sur Washington aux alentours de 10h30 (pour officiellement chercher à s'écraser sur le Capitole ou la Maison Blanche) ?
La seule explication pour que les militaires puissent savoir tout cela à l'avance, ce n'est pas qu'ils savaient qu'il y allait y avoir des attentats commis le 11 septembre, et qu'ils auraient connaissance à l'avance du plan imaginé par Al-Qaïda. Mais que les Vols 11, 175, 77 et 93, ont en fait été choisi par les militaires, pour être détournés dans le cadre des exercices de simulation prévu le 11 septembre et qui ont bien eu lieu. Et sans doute pourquoi il n'y a quasiment pas eu de réactions de la part du NORAD pour intervenir (les détournements - réels ou simulés - étaient prévus à l'avance et des hauts responsables de l'US Air Force et du NORAD - qui donnent les ordres - étaient forcémment au courant).
Cela confirme au passage les deux hypothèses abordées au début et explique pourquoi les quatre Vols sont détournés (mais pas par Al-Qaïda et non pour les faire s'écraser). Et par-là même, la raison de la production régulière de faux échos radars, sur ce que seront les cibles. C'étaient des exercices de simulation, donc la seule possibilité pour simuler le trajet final des quatre avions, était d'utiliser des "menaces radars". Ils n'allaient bien-sûr pas faire s'écraser réellement des avions. En fait, eux non. Mais ceux qui sont réellement dérrière les attentats, ne s'en sont pas privé. Ces derniers le feront en utilisant les Boeing pilotés à distance, qui remplaceront à un moment donné du détournement, chacun des vols réels. Il est difficile de savoir exactement le rôle qu'il était prévu de faire jouer aux Boeing téléguidés pendant les exercices. S'ils en faisaient partie intégrante dès le départ ou s'ils sont simplement venus s'y ajouter par un prétexte quelconque. Toujours est-il que, comme c'étaient des "avions-cibles", ils étaient de toutes façons destinés à être détruits. Peut-être était-il prévu - sans certitude - de les faire abattre, mais en tous les cas, nous pouvons dire que les deux qui se sont écrasés sur le WTC n'ont eux, jamais été abattus (au contraire, comme nous l'avons vu, de celui qui devait prendre la place du Vol 93).
Bien évidemment, que les quatre avions se retrouvent réellement détournés, cela fait les affaires de ceux qui commettent les attentats et dirigent tout en sous-main, puisque la version officielle sera que les avions étaient détournés par des "pirates de l'air d'Al Qaïda". Tout comme la récupération des appareils et de leurs occupants, en les détournant pour les faire se poser. Bien-sûr, on ne pouvait les laisser arriver à destination, étant donné qu'au final, ils seront considérés tous les quatre comme ayant été détruits dans les crash. Ceux qui sont réellement dérrière les attentats n'ont qu'à - si l'on peut dire, "seulement" - se préoccuper de faire piloter les Boeing téléguidés pour les faire s'écraser, et au préalable de faire piéger le WTC, le bâtiment N°7 et une aile du Pentagone. Et d'encadrer la réception des vols réels, des passagers et membres d'équipage. Le reste, le fait de détourner les quatres avions, de produire de faux échos radars, les appels téléphoniques fabriqués censés provenir des vols..., cela étant réalisé dans le cadre des exercices.
Où l'on voit que le plan servant à la réalisation des attentats est en fait le plan des exercices de simulation prévus, réalisés le 11 septembre.
Ceux qui réalisent les attentats, qui "tirent les ficelles" en coulisse, viennent se gréffer sur le plan des exercices de simulation qui se dérouleront le 11 septembre. Et ce que l'on comprend bien, c'est que le plan qui a servi pour commettre les attentats est en fait entièrement calqué sur celui qui était programmé pour les exercices. Et d'où vient exactement le plan des exercices de simulation qui ont eu lieu le 11 septembre ? Et bien la réponse nous est donnée par le général Mackinley et le colonel Allan Scott de l'US Air Force, du NORAD, durant la seconde audience devant la Commission.
Le général McKinley et le colonel Scott, seront interrogés par le commissaire Ben-Veniste sur l'exercice "Amalgam Virgo 02" (planifié avant le 11 septembre). McKinley donnera des précisions à partir d'un dossier qu'il a avec lui. Il dira que l'exercice "Amalgam Virgo 02" est un exercice avec des détournements simultannés à l'intérieur du territoire des Etats-Unis. Et Scott, que "Amalgam Virgo 01" est un exercice où l'on utilise un UAV (Uninhabited Aerial Vehicle) un engin sans pilote, piloté à distance. Et nous savons déjà qu'une opération de type "Amalgam Virgo" pouvait aussi consister à remplacer un vol réel détourné par un UAV, ou utiliser un engin sans pilote pour simuler un avion détourné dans ce genre exercice. Et Mckinley dira que dès qu'un exercice implique un détournement d'avion, ce sont les concepteurs du NORAD qui se chargent d'imaginer le scénario.
Retranscription de la seconde audience du 23 mai 2003 devant la Commission d'enquête:
MR. Ben-veniste: "Et bien, il est évident qu'il serait difficile d'imaginer un postulat pour le scénario exact. Mais n'est-ce pas un fait, monsieur, qu'avant le 11 Septembre 2001, le NORAD avait déjà envisagé des plans pour simuler dans un exercice, un détournement simultané de deux avions aux États-Unis ?"
GEN. McKinley: "Colonel Scott, avez-vous des informations à ce sujet ? Je ne suis pas au courant de cela, monsieur. Je n'étais pas présent à l'époque".
MR. Ben-veniste: "C'était l'opération Amalgam Virgo".
MR. Scott: Oui, monsieur. Plus précisément l'Opération Amalgam Vrgo, auquel j'ai participé avant que je sois à la retraite, c'était un scénario fondé sur la troisième conférence mondiale - pas des Nations Unies - avec un véhicule aérien inhabité lancé d'un cargo dans le golfe du Mexique. Le Général Arnold peut m'épauler - à l'époque l'une de nos grandes préoccupations était la prolifération de la technologie des missiles de croisière et la capacité pour les groupes terroristes d'obtenir cette technologie, le faire assez près de nos côtes pour le lancer. En fait, cet exercice - dans cet exercice, nous avons utilisé un drone réel - les drônes NQM-107, qui sont de la taille d'un missile de croisière, pour exercer nos chasseurs et nos radars dans un scénario dans le golfe du Mexique.
MR. Ben-veniste: "Vous faites allusion à Amalgam 01, n'est-ce pas ?"
MR. Scott: "Oui, monsieur, Amalgam 01".
MR. Ben-veniste: "Je fais allusion à Amalgam 02, qui était au stade de la planification préalable avant le 11 septembre 2001, monsieur. Est-ce exact ?"
MR. Scott: "C'était après ma retraite, et je n'ai pas été impliqué dans 02".
MR. Ben-veniste: "Voulez-vous accepter que l'exercice impliquait un scénario de détournement simultanné ?"
MR. Scott: "Je n'ai pas été impliqué dans 02".
GEN. McKinley: "Monsieur, je vais donner des informations sur 02, si vous me permettez de lire le dossier".
MR. Ben-veniste: "S'il vous plaît".
GEN. McKinley: "En général, Amalgam Virgo, 02, est un exercice conçu pour se concentrer sur les missions du NORAD en temps de paix et de la contingence. L'un des scénarios en temps de paix qui est toujours et a été une mission du NORAD depuis des années est le soutien à d'autres ministères. Au sein de cette mission nous sont confiés les détournements. La créativité du concepteur mise de côté, avant le 11 septembre, les motivations du détournement étaient fondées sur des objectifs politiques - c'est-à-dire, demande d'asile ou la libération de prisonniers capturés ou de personnalités politiques. Des menaces de tuer les otages ou de s'écraser ont été laissés aux scénaristes pour invoquer leur créativité et élargir la réponse requise pour les joueurs."
(Les numéros de page ne sont pas indiqués pour la seconde audience, mais quand on compte ce sont les 26ème et 27ème pages, Lien).
Avec la déclaration des deux officiers, nous voyons que les attentats du 11 septembre sont en fait une combinaison de deux types d'exercices de simulation distincts éxistants déjà (opérations Amalgam Virgo 01 et 02), qui correspondent bien à ce que nous avons durant les attentats: détournement de plusieurs avions en même temps à l'intérieur de l'espace aérien des Etats-Unis et remplacement des avions détournés par des UAV, qui seront les Boeing téléguidés (la petite différence étant qu'au lieu de simuler des missiles de croisière, les Boeing téléguidés simuleront des avions détournés). Et que le plan des exercices - servant de base pour le plan des attentats qui auront lieu - a été imaginé et élaboré par les concepteurs de scénarios du NORAD. Donc que le plan des attentats provient effectivement de la Défense Américaine.
Et au final, on se rend bien compte (avec nos 16 coïncidences), que les attentats du 11 septembre sont entièrement inspirés d'après le plan des exercices de simulation. Le plan conçu pour les exercices de simulation du 11 septembre, est le plan des attentats. Ceux qui sont dérrière les attentats, n'ont en fait qu'à suivre le scénario, qu'ils ont eux-mêmes demandés en indiquant ce qu'ils voulaient (quatre avions détournés sur la Côte Est, deux s'écrasant sur le WTC, un sur le Pentagone et le dernier sur le Capitole ou la Maison Blanche). Et ce qui aurait normalement dû rester une simple simulation à grande échelle et un vaste exercice d'entrainement militaire, a en fait eu lieu réellement.
Donc, contrairement à ce que prétend la version officielle, le plan des attentats ne provient pas de Ben Laden et Kalhid Cheick Mohammed, planqués dans leur grotte en Afghanistan, mais bien à l'initiative de hauts responsables de l'Administration Bush, par l'intermédiaire de la Défense Américaine et par le biais des concepteurs de scénarios du NORAD. Sous couvert d'exercices de simulations anti-terroristes.
Qui avait le pouvoir et les moyens de réclamer à la Défense Américaine un plan pour réaliser un exercice de simulation antiterroriste le 11 septembre ?
Maintenant, qui avait le pouvoir de réclamer d'un tel exercice et de se trouver impliqué dans son élaboration ? Et bien nous savons depuis le début que deux personnes en avait le pouvoir:
- Le Vice-Président Dick Cheney qui avait été nommé par George Bush le 8 mai 2001, comme le coordinnateur pour la mise en place d'initiatives du gouvernement pour combattre le terrorisme;
- Le Directeur de la FEMA (Fédéral Emergency Management Agency), Joe Allbaugh, chargé de la création d'un Office National de Prévention. Ce dernier sera l'organisme qui sera nommé responsable de la mise en oeuvre de toutes les implications qui auront trait à la gestion des conséquences, des décisions prises par Cheney, dans sa responsabilité de coordinnateur. Et cela incluait tous les programmes fédéraux concernant des armes de destructions, les programmes du Département de la Défense, des services de santé et d'assistance, de la Justice et de l'Energie, de l'agence de protection de l'environnement et d'autres agences fédérales.
Les attentats du 11 septembre étaient bien un complot interne de A à Z (et non que ce serait l'Administration Bush qui aurait eu vent à l'avance des attentats d'Al-Qaïda, et les auraient seulement laissés se produire sans bouger).
Ce sont les moyens militaires Américains qui ont en fait été instrumentalisés, pour réaliser les attentats. Parce que la logistique ayant servie à la réalisation de l'opération était en majorité d'origine militaire: Les équipes d'intervention qui principalement détournent les avions (on ne peut néanmoins exclure la possibilité d'équipes "mixtes", avec un mélange de personnels issus d'autres organismes); les Boeing téléguidés (qui sont des "avions-cibles", des UAV de l'Air Force), et les "menaces-radars" (qui auront leur importance, surtout lorsque l'on sait - entre autre - qu'aucun Boeing ne s'est écrasé sur le Pentagone), sont produites par l'US Air Force.
Le fractionnement des degrés d'implication, ou la théorie du fractionnement des responsabilités.
Dans les grandes lignes, vous avez compris le principe. Mais même si nous savons finalement ce qu'était l'opération des attentats - une habile combinaison des exercices de type "Amalgam Virgo 01" et "Amalgam Virgo 02" - pour vraiment réaliser concrétement sur le terrain, ce qui aurait dû rester de simples exercices. Beaucoup des différents acteurs des attentats, seront en fait employés à leur insu. Il ne faut pas croire que tous les militaires de l'Air Force, du simple soldat au général du Pentagone, étaient tous au courant. Bien-sûr que non. C'est seulement que l'on s'est servi d'eux, tout simplement en leur donnant des ordres. Chacun de son côté, croyant participer à un simple exercice. Cette manière de procéder porte un nom, ça s'appelle: Le fractionnement des degrés d'implication, ou encore, la théorie du fractionnement des responsabilités.
Le principe consiste à n'impliquer chaque intervenant prévu dans le plan, que dans une partie bien déterminée de l'opération. Mais chacun n'ayant connaissance que de son rôle personnel, à son niveau. Sans connaitre quel rôle sera dévolu aux autres participants.
Les attentats ont pu être réalisés, en suivant un processus de commandement - avec comme nous l'avons vu la présence de niveaux de commandement de de décisions paralèlles - dans lequel, chaque organisateur à son niveau, n'avait connaissance que d'une partie du plan de l'opération. Les équipes qui détournent les vols, ne devaient pas savoir qu'il y avait quatre détournements réels, et aussi d'autres détournements, ceux-là simplement simulés. Tout comme ceux qui s'occupaient de produire les faux échos radars, ne savaient sans doute pas que des avions devaient être détournés rééllement (d'autant plus, n'oublions pas que ce ne sont pas les vols réels qui s'écrasent). Et peut-être aussi les complicités internes aux aéroports, pour faire entrer les équipes dans les avions, les personnes qui font entrer les équipes d'intervention ne devaient pas connaitre l'objectif de la mission et savoir qu'ils allaient être détournés (comme les autres, ils obéissent aux ordres). Jusqu'aux techniciens qui équipèrent les Boeing en y implantant leurs installations téléguidées, ne savaient probablement pas pour quelle opération exactement, ni quand ils seraient utilisés. Ou bien encore le responable des stocks d'explosifs militaires, qui a signé le bon de livraison pour faire parvenir les centaine de kilos de nano-thermite, et de s'assurer de leur arrivée à destination. Lui non plus ne pouvait pas savoir qu'ils allaient servir à piéger le WTC et sans doute aussi le Pentagone.
Tous participent aux attentats sans même le savoir, tout simplement en obéissant aux ordres, mais sans savoir ce que font, ou feront les autres acteurs de l'opération. Ils ne peuvent avoir une vue d'ensemble de toute l'opération. Seules quelques personnes hauts placées avaient connaissance de tout, de l'ensemble du plan.
Cela permet de limiter ce que pourrait révéler tous les participants, étant donné qu'ils n'en savent pas plus, que ce qu'ils ont fait à leur niveau. Le meilleur moyen aurait été qu'ils se connaissent tous et qu'ils auraient su ce que faisaient les autres, ce qui bien-sûr n'est pas le cas.
Pour connaitre le rôle exact de chacun, à quelques niveaux que se soit, il faudrait pour cela connaitre tous les participants et ce qu'ils ont fait le 11 septembre, et même avant pour la préparation de l'opération. Des donneurs d'ordre - quel que soit leurs grades - aux éxecutants - quel que soit leurs faits et gestes. Cela demanderait un énorme travail de recherche, d'interrogatoires, qui pourrait permettre une reconstitution des faits, minute par minute. Il faudrait avoir un accès sans limite aux informations (affectations, emplois du temps, registres de présence, compte-rendus d'opérations, rapports de débriefing, ordres écrits des supérieurs,...etc), qui sont généralement d'origines militaires, donc protégées par le secret. Il faudrait aussi reconstituer le vol de chacun des avions en vol - au minimum - sur la côte Nord Est des Etats-Unis, pour pouvoir isoler les Boeing téléguidés, et tenter de reconstituer leur trajet exact (de leur décollage, jusqu'à leur cible). Identifier où se trouvaient les vols réels et où se sont produites précisémment les substitutions (quand les Boeing téléguidés ont pris la place des vols réels). Et de voir où les vols réels ont effectivement atterri. Ce travail de très grande ampleur demanderait des mois, mais il n'est pas irréalisable.
Le fractionnement des degrés d'implication permet aussi de multiplier les responsabilités personnelles de chacun. Même si au bout d'un moment, retrospectivement, beaucoup ont dû finir par comprendre quel a été leur rôle, ils ne parleront jamais pour une raison bien simple. Ils se retrouvent tous impliqués à leur insu dans les attentats, donc ils ont chacun une responsabilité propre dans la mort - officiellement - de près de trois mille Américains. Sans compter qu'étant principalement militaires, ils sont de fait, évidemment tous tenus au secret.
Le rapport de la Commission d'enquête montrera une version des faits contradictoire et incohérente.
Beaucoup - surtout des journalistes - brandissent le rapport de la Commission pour dirent qu'il n'y a pas de complot, que la version officielle serait vrai. Mais il faut savoir que les fausses versions officielles finissent toutes par se faire avoir, de part les informations contenues dans leur rapport. Les rapports fournissant toujours des renseignements censées prouver la version officielle, mais permettant aussi d'avoir des indications pour reconstituer ce qui s'est passé rééllement. Et comme nous l'avons vu, le rapport de la Commission d'enquête sur le 11 septembre ne fait pas exception.
La prinicpale particularité qui montre que la version officielle est fausse, ce sont toutes les contradictions présentes dans le rapport. Pourquoi régulièrement de telles contradictions ? Et bien, le rapport commence en général, à donner d'abord de vrais informations. Si il ne les mentionnaient pas, on pourrait lui reprocher de cacher des choses, et il lui faut se baser sur un minimum d'indications authentiques (si tout est faux, ça se verra immédiatement). Pour ensuite - quelques paragraphes ou quelques pages plus loin - donner des informations qui contredisent les précédentes. Pourquoi se contredire de la sorte ? Parce que, si la Commission ne présentait que les informations réelles, sans les contredires, sa version officielle ne tiendrait pas debout. Mais le résultat est que, si l'on se base uniquement sur le rapport, nous ne pouvons savoir exactement comment les choses se sont vraiment passées, parce que cela aboutit en fait à une version officielle totalement contradictoire dans la présentation des évènements et donc complètement incohérente dans l'explication des faits. On remarque souvent "deux sons de cloches" pour un même évènement et en ayant seulement le rapport entre les mains, on ne peut pas toujours réussir à diserner le vrai du faux (mais cela est fait exprès).
De plus, lorsque l'on se base sur différents autres rapports, des informations montrent aussi que la version présentée dans le rapport est fausse. Et l'on peut ajouter, ironie du sort, plusieurs Mémorandum "pour les archives" de la Commission, des documents de la Commission elle-même démontrant que la version des faits présentés par cette dernière est fausse. Ce qui fait que la Commission nous demande de considérer comme vrai, une version dont ses propres membres savent parfaitement qu'elle ne correspond pas à la vérité.
Sans compter ses pistes (parmi d'autre) que la Commission ne suit pas, ou encore les évènements qu'elle ne cherche pas à approfondir:
- Les quatre avions du 11 septembre étaient repérés au radar où les détournement ont été vu par les militaires, par le NEADS, au moment où ils se sont produit. Pourquoi alors présenter une version disant que les militaires n'avaient pas eu le temps d'intervenir, parce qu'ils auraient été averti trop tard par la FAA ? La question est: Pourquoi les militaires ne bougent pas ?
- La Commission a connaissance qu'un avion a bien été abattu durant les attentats par le secrétaire aux transports Norman Mineta et sait que ce n'était pas le Vol 93. La question est: Pourquoi ne cherche-t-elle pas à savoir de quel avion il s'agissait ? (D'autant plus que seuls les quatre vols détournés seront les seuls à avoir été perdu ce jour-là par les deux compagnies aériennes).
- La Commission dit elle-même que des passagers ont embarqués dans le Vol 11, après que celui-ci ait quitté sa porte d'embarquement. Pourquoi ne cherche-t-elle pas à savoir qui pouvait être ces individus et à les identifier ? Comme ils n'ont pas pu pénétrer dans l'avion sans complicité interne à l'aéroport de Boston, pourquoi dire alors qu'il n'y aurait aucune complicité de la part du personnel des sociétés de sécurité au sein des trois aéroports d'où décolleront les quatre avions détournés ?
- Pourquoi ne pas enquêter sur la "chaine de prise de décision et de commandement paralèlle", que l'on remarque régulièrement durant les attentats ? Pourquoi la Commission ne cherche-t-elle pas à identifier ceux qui interfèrent régulièrement dans les évènements, en diffusant de vrais ou de fausses informations ?
- Pourquoi ne pas enquêter sur l'origine des appels téléphoniques soi-disant passés en provenance des vols, alors que nous savons que techniquement ils étaient impossibles, et par les rapports du FBI, qu'ils ne provenaient pas des passagers ou membres d'équipages présents dans les avions ?
Tout simplement parce que, le fait d'apporter les réponses à ces questions permet de savoir comment les évènements se sont réellement déroulés le 11 septembre. Et la Commission n'a pas pour but de découvrir la vérité, mais de présenter une version fabriquée au public.
Il y aurait encore sans doute beaucoup à dire. J'ai voulu me plonger dans les attentats du 11 septembre pour me faire ma propre opinion. Ma conclusion, qui n'engage que moi, est que les attentats étaient bien un complot interne à l'Administration Bush, avec Ben Laden servant d'épouventail international, et les 19 "pirates de l'air" de boucs émissaire. Le tout étant le prétexte à l'établissement de nouvelles lois cohérsitives aux Etats-Unis et à faciliter l'expention de la zone d'influence militaro-industrielle Amércaine en Asie centrale.
J'éspère que toutes les informations que j'ai présentées durant cette contre-enquête - de plus d'un an - permettront aux lecteurs de se rendre compte de tout ce que l'on peut apprendre et découvrir pas soi-même. Quand on se décide à mettre vraiment les "pieds dans le plat", pour le peu que l'on y consacre du temps et de la patience, on peut parvenir à reconstituer le puzzle du déroulement des attentats du 11 septembre (tout-au-moins dans les grandes lignes).
Il est bien difficile de mettre tout le monde d'accord avec un évènement tel que les attentats du 11 septembre et ce n'est pas mon intention. Mais j'ai voulu me pencher sur le problème, j'ai enquêté à mon humble niveau et selon mes modestes moyens tout en faisant en profiter régulièrement les lecteurs interessés. Voilà ma conclusion personnelle. Chacun se fera sa propre opinion.