ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE: LA CONTRE-ENQUÊTE (Partie 35)

Publié le par Scaramouche

Comment la Commission d'enquête explique-t-elle l'effondrement des tours et du bâtiment n°7 ?

Et bien elle ne l'explique à aucun moment dans le rapport. Dans le chapitre sur l'évacuation, les incendies et l'effondrement des tours jumelles, le rapport ne dit jamais que les tours s'effondrent parce qu'elles ont été impactées par les avions, ni que les fondations d'acier auraient fondu à cause du carburant enflammée. La seule allusion à ce qu'aurait provoqué le crash du premier avion sur la tour nord, décrit les choses de cette manière (page 285 version US et page 334 version Française):

"A 8h46, l'avion détourné du vol n°11 d'American Airlines percute la partie supérieur de la tour nord en s'écrasant entre le 93ème et le 99ème étage...".

La tour Nord. Une boule de kérosène enflammée se forme au-dessous du point d'impact et détruit au moins une cage d'ascenseur. La boule de feu se propage vers le bas à travers de nombreux étages inférieurs, dont le 77ème et le 22ème, l'entrée par la West Street au niveau du rez-de-chaussée, ainsi que le niveau B4 situé quatre étages en sou-sol. La boule de kérosène enflammé génère immédiatement une épaisse fumée noire qui envahit les étages supérieurs et le toit de la tour Nord".

Pour la tour Sud (page 293 version US et page 344 version Française), les évènements au moment de l'impact sont décrits comme suit:

"A 9h03 et 11 secondes, l'avion détourné du vol n°175 de la United Airlines vient percuter la tour Sud, le bâtiment n°2 du WTC en venant du sud, et s'encastre entre le 77ème et le 82ème étage..".

La tour Sud. A l'extrémité inférieure du point d'impact, au 78ème étage où se trouve la desserte des ascenseurs permettant de se rendre au sommet ou en descendre (sky lobby), des centaines de personnes sont en train d'attendre pour évacuer l'immeuble après le premier crash".

A part pour la tout Nord avec la description de ce qui est censé s'être produit avec cette boule de feu au moment de l'impact, il n'y a aucune mention d'une "boule de kérosène enflammée" qui serait descendu dans le sous-sol pour la tour Sud. Et le rapport ne donnera par la suite aucune explication sur les raisons de l'écroulement des tours jumelles. Le rapport ne parle que des conséquences de l'effondrement des tours, mais jamais de la cause de cet effondrement. 

La seule explication officielle viendra du NIST, "National Institute Standard and Technology", avec la publication de leur rapport d'enquête sur l'écroulement du WTC, quand le rapport final sera rendu public en 2005. On peut se demander pourquoi le rapport de la Commission ne se réfère pas plus que ça à l'enquête du NIST (il y aura régulièrement des rapports préliminaires entre 2001 et 2005). Il aurait été normal d'avoir au moins un chapitre d'explication reprenant les conclusions du NIST, dans leur rapport final. Mais à aucun moment il n'y aura un texte explicatif quelconque sur la raison pour laquelle les tours s'écroulent. Même les paragraphes mentionnant les deux effondrements, ne disent jamais que les tours Nord et Sud s'effondreraient parce qu'elles auraient été heurtées par un Boeing. 
L'effondrement du batiment n°7 ne sera lui, pas non plus expliqué dans le rapport final de la Commission (le rapport ne mentionne même pas de son effondrement à 17h20). Le NIST avait prévu la publication d'un rapport sur l'effondrement du WTC n°7, qui devait être publié en 2004. Il sera régulièrement différé par la suite. Reporté en 2006, puis en 2007. Puis une ébauche de rapport pour le public devait sortir en juillet 2008. Au jour d'aujourd'hui, le rapport du NIST concernant le WTC n°7 n'a toujours pas été publié.

Et on peut ajouter que le rapport de la Commission d'enquête mentira au sujet de la taille de la section, de l'épaisseur réelle des poutrelles en acier des tours jumelles.

 

L'explication officielle du NIST.

Le National Institute Standard and Technology, produira un rapport de plus de dix mille pages (répartit en 43 volumes), pour expliquer l'effondrement des tours n°1 et 2 du WTC et du WTC n°7, le bâtiment n°7.

La raison se résumerait en cinq points:

1) Les tours n'étaient pas construites pour résister à l'impact d'un avion aussi gros qu'un Boeing 767;

2) Les avions ont détruits plusieurs colonnes centrales et arrachés l'isolation ignifuge d'un grand nombre d'autres colonnes;

3) Les incendies qui en ont résultés ont affaibli les colonnes qui n'étaient alors plus protégées;

4) Sous l'effet de la chaleur, les planchers se sont affaissés, les colonnes extérieures on pliées vers l'intérieur des bâtiments, réduisant leur capacité de résistance;

5) La partie supérieure de chacun des deux bâtiments, au-dessus de la zone d'impact, est tombée sur la partie inférieure en exerçant une telle pression que la partie inférieure s'est effondrée presque à la vitesse de la chute libre.

Comme nous alons le voir, ces cinq affirmations sont fausses et n'expliquent nullement l'effondrement des tours.

Et il faut savoir que le NIST n'est pas un organisme indépendant. Effectivement, les rapports qui étaient examinés au NIST, passaient tous entre les mains de trois autres organismes chargés de suivre leur travail: La NSA, "National Security Agency", la fameuse agence de renseignement et d'espionnage; le Ministère du Commerce, qui vérifiait très attentivement leur travail et rufusait très souvent une publication d'étude ou une communication "sans les changements nécessaires, afin de se conformer à leur vision des choses"; et le Bureau de la Gestion et du Budget, qui était un "bras executif du président,... et dont un responsable avait été nommé spécialement pour surveiller notre travail" (commentaires entre guillemets d'un ancien employé du NIST).

 

Le World Trade Center pouvait-il résister à l'impact d'un avion de ligne ?

Une analyse structurelle des tours jumelles datant de 1964, avait été réalisée par le cabinet Worthington, Skilling, Helle & Jackson. Ce dernier expliquait que: "Une étude menée sur ces bâtiments a montrée qu'ils peuvent résister à l'impact d'un gros avion de ligne (Boeing 707 ou DC8) qui volerait à 965 Km/h. L'étude indique qu'un tel impact n'entrainerait que des dégâts localisés, et ne provoquerait pas d'effondrement". Et Franck de Martini, conducteur des travaux au moment de la construction des tours a dit en 2001: "Le bâtiment a été conçu pour supporter la percussion d'un Boeing 707 à pleine charge; c'était le plus gros avion de l'époque. Je pense que l'immeuble pourrait probablement résister à de multiples impacts d'avions de ligne".

Et suite à l'attentat de 1993, John Skilling, qui avait été chargé de la conception de la structure des tours jumelles, il a déclaré que, si l'une des tours devait subir l'impact d'un avion à réaction avec le plein de kérosène, que "il y aurait un terrible incendie" et "beaucoup de morts" mais "la structure du bâtiment resterait en place". Cela infirme le premier point du NIST.

 

Quels dommages réels pour les colonnes centrales du WTC ?

D'après le NIST, les colonnes centrales ont été brisées, la protection ignifuge arrachée, donc l'acier enflammé des colonnes, poussé à de très fortes températures par la propagation interne de la chaleur au sein des colonnes elles-mêmes, aurait fait plier et déformer ces dernières. Au point que la structure du bâtiment en soit affaiblie, la partie des étages supérieurs tombant sur les étages inférieurs et ainsi de suite. Mais le rapport du NIST lui-même se contredit sur ce point précis d'échauffement des colonnes, en disant que "nulle part, les températures proches des 1000°C n'ont excédé 15 à 20 minutes. Le reste du temps, les températures estimées étaient d'environ 500°C ou moins". Et un rapport d'expertise de morceaux d'acier trouvés dans les décombres, n'a montré "aucune preuve qu'un seul des échantillons analysés aient atteint une température supérieur à 600°C". Le même rapport va même encore plus loin en disant par la suite que, après avoir analysé 16 colonnes extérieures, que "seulement trois ont montré que leur température a dépassé les 250°C". La température de fonte de l'acier étant de 1480°C, on peut exclure que les températures relevées par le rapport (sans compter la durée limitée pour les températures proches des 1000°C), aient pu suffire à faire plier et diminuer la résistance de la structure interne des tours, donc provoquer leur effondrement. Les températures données par le rapport lui-même, contredisent donc totalement les troisième et quatrième points du NIST.

 

Les tours pouvaient-elles s'effondrer, avec un incendie aussi limité à quelques étages et des températures aussi basses, ne pouvant pas faire fondre l'acier ?

C'est le point crucial. Le NIST reconnait lui-même que les tours se sont effondrées sur elles-mêmes, "quasiment à la vitesse de la chute libre". Mais selon la logique de la version officielle (en l'occurrence du NIST), pour que cette effondrement puisse avoir lieu, il faudrait que la structure interne des tours ait cédée uniquement suite aux incendies et aux fortes températures sur l'acier qui en aurait résulté. Mais comme nous venons de le voir, ni les incendies ne sont suffisamment importants, ni les températures suffisamment élevées pour faire fondre l'acier, donc pour faire s'écrouler les deux tours du WTC. Le dernier point du NIST s'invalide donc de lui-même. 
Les tours ne se sont donc pas effondrées suite aux seuls impacts, tout comme à cause des incendies. L'un et l'autre n'étaient pas suffisant pour provoquer l'écroulement, surtout en un temps aussi court. D'autre bâtiments comparables au WTC dans leur architecture, aussi construit à "structure d'acier", ont résistés à des incendies généralisé beaucoup plus important, et qui ont duré pendant plusieurs heures, sans que le bâtiment ne s'effondre.

Parmi eux on peut citer:

- Le One Meridian Plaza, un gratte-ciel de 38 étages à Philadelphie qui a subi un grave incendie le 23 février 1991. L'incendie s'est déclaré au 22ème étage et l'immeuble a brûlé pendant 18 heures, provoquant la destruction complète de huit étages. Les autorités de Philadelphie le décriront comme "le feu le plus important de ce siècle" pour cette ville. L'immeuble est resté debout;

- Le First Interstate Bank Building, un gratte-ciel de 62 étages à Los Angeles qui a subi les pires incendies sur un bâtiment de grande hauteur de l'histoire de la ville. Dans la soirée du 4 mai 1988 jusqu'au lendemain matin, 64 compagnies de pompiers ont combattu l'incendie, qui a duré 3 heures et demi. L'incendie a détruit les bureaux entre les 12ème et 16ème étage. Lui non plus ne s'est pas écroulé;

- Le New York Plaza, une tour de bureaux de 50 étages qui était à deux kilomètres du World Trade Center. Il a subi un grave incendie le 5 août 1970. L'incendie a commencé vers 18 heures, et a duré pendant plus de 6 heures; 

- Le plus haut gratte-ciel de Caracas au Venezuela, a connu un grave incendie le 17 octobre 2004. L'incendie a commencé avant minuit au 34ème étage, et s'est étendu dans plus de 26 étages, et le bâtiment a brûlé pendant plus de 17 heures;

- L'hôtel Mandarin Oriental à Pekin a prit feu le 9 février 2009. Le gratte-ciel encore en construction et presque terminé mesurait 520 mètres de haut. L'incendie commença vers 20 heures, s'étendit à tout le bâtiment en 20 minutes, et dura pendant plus de 3 heures jusqu'à minuit. Malgré le fait que le feu se soit propagé à travers tous les étages et transforma le bâtiment en véritable torche, aucune partie importante de la structure ne s'est effondrée.

Concernant la raison exacte de l'effondrement, les tours se sont bien effondrées sur elles-mêmes, presque à la vitesse de la chute libre, mais non à cause du choc d'un avion de ligne, ni à cause des incendies à l'endroit de l'impact. C'est donc bel et bien autre chose qui a provoqué leur effondrement.

 

Les tours ne s'effondrent pas comme elles devraient, en cas d'une rupture totale de leurs fondations en sous-sol.

Les images montrent les tours s'effondrer sur elles-mêmes, comme "une pile d'assiettes". Le rapport dira même "comme un château de cartes". Mais il y a plusieurs choses qui ne correspondent pas avec une rupture des fondations, dont l'acier des poutrelles auraient fondu, et que c'est cela qui aurait provoqué l'effondrement des tours jumelles. Et de plus, les tours ne s'effondrent pas dans le bon ordre.

Si les fondations métalliques avaient subit une rupture au niveau du sous-sol (la fameuse "boule de kérosène enflammée" qui aurait atteint cet endroit), les tours auraient normalement dû basculer et tomber sur le côté, tout en restant d'une seule pièce, comme vous pouvez le voir avec la photo de ces deux bâtiments, dont les fondations ont cédées (photo ci-dessous des tours de l'Ambiance Plazza), et non avec les étages s'écroulant tous les uns après les autres au fur et à mesure vers le bas avec les bâtiments s'effondrant sur eux-mêmes.

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Ensuite, les tours ne s'effondrent pas dans le bon ordre, puisque c'est la tour sud (qui a été touchée après la tour nord) qui s'effondre la première. Si l'effondrement était dû aux incendies et à la fonte des poutrelles métalliques par le kérosène, c'est la tour nord qui aurait dû s'écrouler en premier, puisque c'est elle qui est touchée la première, donc où les incendies ont duré le plus longtemps. Normalement, si l'on suit la logique de l'explication officielle c'est d'abord la tour nord, puis la tour sud qui auraient dû tomber. Mais c'est l'inverse qui s'est produit.

 

Les différences entre l'effondrement des tours jumelles et celui du bâtiment n°7.

Il existe de nombreuses vidéos et des photos de l'effondrement des tours, montrant des explosions suspectes. Ces explosions régulières se produisent par de puissantes éjections latérales régulières, au fur et à mesure de l'effondrement. Et pour les parties qui tombent, de ce qui compose la tour (des poutres d'acier, de la poussière de béton pulvérisée et de tonnes de débris) éjectés à plusieurs centaines de mètres horizontalement à partir du bâtiment. La seule chose qui peut provoquer une force latérale instantanée aussi puissante, ce sont des explosifs. 

Concernant les tours jumelles, on peut remarquer qu'à l'inverse d'une destruction contrôlée où habituellement, les démolisseurs cherchent à minimiser les effets aux alentours (la retombée de la poussière et des débris), par mesure de sécurité; nous avons ici une destruction qui provoque l'effondrement, mais qui n'est pas ce que l'on nomme "implosive" (on peut dire aussi "interne", on s'arrange pour canaliser toute la force destructrice vers l'intérieur du bâtiment, ou tout au moins dans une zone restreinte autour de celui-ci). Mais qui au contraire est "explosive" (on cherche à obtenir une très forte étendu de la projection des débris dans toutes les directions). Cela a deux effets, d'abord obtenir quelque chose de bien plus impressionnant et aussi, même si en fait cela se verra très bien sur les images, les nuages de poussière permettront de masquer quelque peu sur le moment, la chute quasiment à la vitesse de la "chute libre".

Alors que pour le WTC n°7, on peut voir que celui-ci s'effondre, si l'on peut dire, "proprement". Nous avons à faire à une démolition implosive classique, où l'on cherche à minimiser les rejets de débris aux alentours. Autre différence que l'on peut constater, les tours jumelles s'effondrent par le haut et durant la chute, la parie inférieure reste intacte. Alors que le bâtiment n°7, céde par le bas. Durant toute sa chute la partie supérieure du bâtiment reste intacte.

Autre éléments qui démontre l'utilisation d'un très puissant explosif, ce sont les restes des victimes présentent dans les tours du WTC, et qui seront retrouvés pour énormément d'entre-elles, comme étant très petits, ce qui n'arrive généralement jamais quand un immeuble s'effondre (comme avec par exemple, des immeubles qui s'écroulent suite à un tremblement de Terre). En 2005 et 2006, plus de 700 fragments d'os humains seront retrouvés sur le toit du bâtiment abritant la Deutsh Bank, à proximité de "Ground Zero". Ils sont si petits et pour la majorité mélangés d'autres débris qu'il sera alors extrêmement difficile de les isoler pour pouvoir dire à qui ils appartiennent (il faut savoir que près de mille personnes des victimes du WTC ne pourront pas être identifiées).

 

Des témoignages d'explosions dans les bâtiments.

Alors, qu'est-ce qui a pu provoqué l'écroulement des tours ? Jusqu'ici, 118 personnes étant dans la zone du WTC le 11 septembre ont racontées avoir entendu des explosions régulières, qu'elles ont décrites comme faisant penser "à des bombes".

La première fois où des explosions se firent entendre, c'est d'après le concierge William Rodriguez quelques secondes avant l'impact du premier avion sur la tour Nord. Deux explosions furent entendues, autant qu'il pouvait en juger, dans les sous-sols au niveau B-2 ou B-3, et ce, chacune à quelques secondes d'intervalle. Comme nous l'avons vu, le rapport confirme en fait ces explosions, mais les attribue à la "boule de kérosène enflammée" qui aurait descendu toute la hauteur de la tour depuis le point d'impact, en descendant la cage d'ascenseur jusqu'au sous-sol. Mais on peut fortement douter d'une telle explication, puisque la majorité du kérosène s'est enflammé de lui-même au moment du crash, et que, comme le précisera le rapport, il n'y avait aucune fumée au rez-de-chaussée. Alors, comment des explosions censées avoir été provoquées par une "boule de feu", pourraient-elles se produire, sans qu'il n'y ait aucune fumée ? Si il n'y a pas de fumée, c'est qu'il n'y a pas eu d'incendie en sous-sol, donc pas de "boule de feu" qui serait arrivée jusque-là. Mais des explosions ont bien eu lieu et l'une d'elle provoquera des brûlures sur l'employé Felipe David, qui se trouvait a proximité d'un mont de charge (et aussi sur quelques personnes présentent sortant d'un ascenseur dans le hall d'entrée). Et deux autres personnes coincées à l'intérieur d'un des ascenseurs seront secouru par Rodriguez.
Mais si c'était une "boule de feu" descendu jusque-là au moment, et quelques secondes après le crash selon le rapport de la Commission, comment se fait-il qu'il y est eu des explosions en sous-sol et dans la cage d'ascenseur du hall d'entrée, plusieurs secondes avant que l'avion ne s'écrase entre les 93ème et 99èmme étages ? On peut dire définitivement que ces explosions n'étaient pas dû à l'impact de l'avion puisque le crash n'avait pas encore eu lieu.

William Rodriguez accompagnera les pompiers dans les étages pour ouvrir des portes de secours qui étaient fermées à clé. Il entendra encore des explosions entre les 20ème et 30ème étage. Quand il atteindra le 33ème étage, il entendra que l'on traine au sol quelque chose de lourd. Ce qui l'étonnera, puisque durant les semaines précédentes le 34ème étage était normalement vide, en raison de travaux.

Peu avant 9h59, ce ne sera pas moins d'une dizaine de pompiers et de policiers qui diront avoir entendu des explosions, avant de voir la tour Sud tomber:

- Le chef des pompiers Ray Downey, lorsqu'il voit la tour Sud s'effondrer à 9h59, dira à ses collègues qu'il pense que des explosifs ont provoqués l'écroulement (il périra dans l'effondrement de la tour Nord).

- "La tour Sud... a en fait cédée plus en dessous, pas à l'étage frappé par l'avion... On a tout de suite pensé que c'était comme une détonation interne, des explosifs, parce que ça a fait une succession de boum, boum, boum, boum, et puis la tour s'est effondrée".

- "J'ai vu des flash vers le bas [de la tour]... je ne savais pas ce que c'était, je veux dire, ça aurait bien pu résulter de l'effondrement de l'immeuble, des choses qui explosaient, mais j'ai vu un flash flash flash et puis l'immeuble a semblé s'effondrer.... C'était vers le bas de l'immeuble. Vous savez, comme quand on démolit un bâtiment, quand on le fait exploser, et puis qu'il s'effondre...".

- "Et puis il y a eu une explosion dans la tour Sud... Etage après étage. Un étage puis l'autre, puis le suivant et lorsque c'est arrivé au cinquième étage, j'ai pensé que c'était des bombes, parce que ça ressemblait à quelque chose de synchronisé".

- "Quelques part vers le milieu [de l'immeuble], il y a eu ce flash orange et rouge qui a jailli... Puis ce flash a fait tout le tour du bâtiment et le bâtiment a commencé à exploser. Ça faisait des pétarades et à chaque pétarade ça faisait un flash orange, puis un flash rouge sortait du bâtiment et puis ça faisait le tour du bâtiment, sur les deux faces aussi loin que je pouvais voir. Ces pétarades et ces explosions étaient de plus en plus fortes, de haut en bas puis autour du bâtiment".

D'autres témoignages dans cette vidéo:

 

 

Conclusion.

Donc ce ne sont ni les impacts, ni les explosions qui ont provoqué l'effondrement des deux tours du WTC. Et la description des témoins, l'analyse des images, tout montrerait que nous avons à faire à des explosifs puissants, pour réaliser une destruction contrôlée, de type "explosive" dans le cas des WTC 1 et 2 et d'une destruction "implosive" pour le WTC n°7. Alors, qu'est-ce qui a provoqué exactement l'effondrement de ses bâtiments ? (nous y reviendrons).

 

Sources:
"11 septembre - Rapport de la Commission d'enquête - Rapport final de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les Etats-Unis", (édition Française), Editions des Equateurs; 

"Un autre regard sur le 11 septembre, 10 ans après le nouveau Pearl Harbor 2", par David Ray Griffin, Editions Nouvelles Terre, collection "Résistances";
www.9-11commission.gov;
www.historycommons.org;
www.govinfo.library.unt.edu.