Des délits d'initiés, des mouvements financiers et des spéculations boursières suspectes, avant les attentats.
Les informations sur les mouvements financiers suspects (délits d'initiées et spéculations), seront grandement relevées dans de nombreux médias (radio, télévision et presse écrite).
Avant les attentats du 11 septembre, American Airlines et United Airlines, les deux compagnies dont les avions furent détournés, seront l'objet de spéculations à la baisse sur la valeur de leurs titres dans les jours précédant les attentats.
Ces spéculations à la baisse se sont traduites par une soudaine augmentation d'achat d'options de vente, une transaction boursière utilisée quand un spéculateur veut parier sur le fait que le prix d'une action va baisser. Chaque option représentant chacune 100 actions. Entre le 6 et le 7 septembre 2001 à la Bourse de Chicago (CBOE, la principale bourse d'options d'Amérique du Nord), 4744 options de vente d'actions United Airlines seront achetées contre seulement 396 options d'achat, 90 fois la normale (pas 90%). Ce qui représente 285 fois la moyenne des transactions habituellement opérées sur cette compagnie aérienne. Le 10 septembre, ce seront 4516 options de vente d'actions American Airlines qui sont acquises contre 748 options d’achat, près de 60 fois la moyenne quotidienne enregistrée les mois précédents (CBS News du 26 septembre 2001). Aucune autre compagnie aérienne n'avait fait l'objet de telles spéculations à la baisse sur sa valeur boursière. Et les actions United Airlines et American Airlines ne seront pas les seules à faire l’objet de transactions financières suspectes.
Allen Poteshman, professeur de finance de l'Université de l'Illinois, publia une étude en avril 2004 qui confirmera des délits d'initiés sur les titres United Airlines et American Airlines: "Il y a des preuves d'une activité inhabituelle sur le marché des options dans les jours précédents le 11 septembre correspondant à des transactions financières sur la base d'une connaissance préalable des attentats".
Et ces transactions vont être constatées sur de nombreuses places financières dans le monde, que ce soit en France, en Allemagne, au Canada, au Japon, en Suisse, à Hong-Kong, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne, en Belgique, au Luxembourg, à Singapour et au Royaume Uni.
Les établissements financiers.
Ce sera le même schéma pour des établissements financiers qui occupaient des bureaux dans (ou à proximité) des tours jumelles, dont: Merrill Lynch, Bank of America et Morgan Stanley. 2157 options de vente de Morgan Stanley, qui occupe vingt-deux étages au World Trade Center, avaient été achetées à la Bourse de Chicago dans les 3 jours précédant les attentats, le volume de ces options sera multiplié par 27, entre le 6 et le 10 septembre. Ce qui représente pour 2000 options, un bénéfice de 1,2 millions de dollars. 12.215 options de vente de Merrill Lynch avaient été achetées dans les 4 jours précédant les attentats contre une moyenne quotidienne de 252 auparavant (1200% d'augmentation). En estimant qu'ils aient souscrits 11000 options, le bénéfice était de 5,5 millions de dollars. En ce qui concerne la Bank of American, les achats d’options de vente ont été multipliés par cinq entre le 6 et le 7 septembre pour atteindre plus de 5900 contrats.
Et une dépêche du 10 septembre de l'agence Reuters, annonçait: "Les actions des compagnies aérienne pourraient être sur le point de redécoller". Dans l'article, il était rapporté que la banque Golman Sachs "est aujourd'hui une acheteuse agressive des actions des compagnies aériennes étant donné qu'elles sont à leur niveau le plus bas depuis quatre ans et que les estimations sont convaincantes. Les meilleurs titres de la société sont "Continental Airlines Inc.", "American Airlines", la filiale de AMR Corporation, et "United Airlines Inc."." Etait-ce un "signal" pour indiquer que c'était le moment d'acheter ? Et pouvoir contrecarrer par la suite des éventuelles suspicions sur des "délits d'initiés" ? Toujours est-il que Golman Sachs achètera aussi des actions des deux compagnies aériennes, dont les avions furent utilisé dans les attentats.
Mais tous les établissements ne chercheront pas à en profiter. Une option de vente de 2,5 millions de dollars sur United Airlines sera abandonnée à la dernière minute. Peut-être qu'ils craignaient d'être inquiété par la suite par la "SEC", "Securities Exchange Commission", la société de contrôle des échanges financiers. Tellement ces transactions anormales étaient voyantes (nous reparlerons de cette option annulée plus loin).
Et en octobre 2001, le Wall Street Journal rapportera que les services de renseignement Américains avaient constaté un nombre exceptionnellement élevé d'achats de bons du Trésor à cinq ans, effectués juste avant les attentats. Une transaction portait sur un montant incroyable de 5 milliards de dollars. Le Wall Street Journal soulignera que: "Les bons du Trésor à cinq ans sont un des meilleurs investissements en cas de crise mondiale, surtout si elle frappe les Etats-Unis. Ces bons sont prisés car ce sont des valeurs sûres, garanties par le gouvernement Américain". La valeur de ces bons, augmentera brusquement après le 11 Septembre.
Les compagnies d'assurance.
Le secteur de l'assurance qui aura à payer pour couvrir les pertes dues aux attentats (près de cinq cent milliards de dollars) connaitra également des énormes transactions:
- Citigroup, qui estime à 500 millions de dollars le coût des attentats pour sa branche assurance, a accumulé un volume d'options de vente 45 fois supérieur à sa moyenne quotidienne entre le 6 et le 10 septembre;
- Le courtier d'assurances "Marsh & McLennan Cos": 1209 options de vente ont été acquises le 10 septembre contre une moyenne quotidienne de 13 les jours précédents.
Et une montée importante de contrats pris juste avant les attentats sera également remarquée sur le titre de l'assureur Français AXA. Il s'en produira aussi pour le secteur de la réassurance qui s'occupe de couvrir les compagnies d'assurances elles-mêmes.
Le seul secteur qui aura une spéculation à la hausse, sera le secteur des fournisseurs de la Défense avec des spéculations à la hausse avec une soudaine augmentation du volume d'options d'achat souscrites. Par exemple, le fabricant d'armes Américain Raytheon, verra son action grimper après le 11 septembre, avec six fois plus de souscriptions d'options d'achat sur son titre, la veille des attentats.
Les réactions dans le milieu de la finance et le milieu boursier.
- "J'ai vu des volumes d'options d'achat et de vente qui dépassaient tout ce que j'avais pu voir en dix ans d'observation des marchés" déclarera John Kinnucan (directeur de Broadband Research) à la réouverture des marchés le 17 septembre 2001;
- Le 20 septembre 2001, sur la chaîne de ABC News, l'expert Jonathan Viner déclarait: "Ces cas de délits d'initiés, couvrant le monde entier du Japon aux Etats-Unis et à l'Europe, sont sans précédent dans l'histoire". Même son de cloche du côté de Dylan Ratigan, directeur de rédaction de Bloomberg News: "Il pourrait bien s'agir là du plus horrible et diabolique délit d'initié que tout ce qu'on a pu voir au cours d'une vie…; Ce serait l'une des coïncidences les plus extraordinaires dans l'histoire de l'humanité si c'était une coïncidence".
- L'analyste et spécialiste des options Jon Najarian est tout aussi catégorique: "Quelqu'un savait (que les attentats allaient avoir lieu)".
- Une étude menée par la banque centrale Allemande fin septembre 2001 conclut à "la preuve quasi irréfutable de délits d’initiés" sur les actions des compagnies aériennes et d'assurances touchées par les attentats.
Une autre étude menée en 2007 par l'Université de Zurich sous la direction de Marc Chesney (professeur de finance et spécialiste des produits dérivés) concluait que "la probabilité qu'il y ait eu délits d'initiés est forte pour American Airlines, United Airlines, Merrill Lynch, Bank of America, Citigroup et JP Morgan. Ce n'est pas une preuve juridique mais le résultat de méthodes statistiques montrant des signes d'irrégularités".
Le 22 septembre 2001, le président de la banque centrale allemande Ernst Welteke déclare que les prix du pétrole et de l'or – valeur refuge en temps de crise – avaient grimpé de manière inexplicable juste avant les attentats. Ernst Welteke suspecte ces mouvements inhabituels d'être le fait d'initiés qui auraient investi dans ces matières premières en sachant que leurs prix grimperaient après les attentats.
La réaction et l'enquête des autorités Américaines.
Les autorités Américaines n'ont pas jugé bon de s'attarder sur la piste des délits d'initiés. La SEC, l'organisme fédéral Américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, débuta une enquête le 12 septembre 2001, conjointement avec le FBI. Le 19 septembre 2003, le FBI annonçait la clôture de l'enquête sur ces transactions financières. Selon Ed Cogswell, porte-parole du FBI, il n'existerait "absolument aucune preuve" que des spéculateurs s'étaient livrés à ces transactions aient pu avoir une pré-connaissance des attentats. La SEC dont le rapport d'enquête fut finalisé en mai 2002 et rendu partiellement public en avril 2010, aura la même conclusion. La SEC reconnaît qu'il y a des transactions inhabituelles, mais pour chacune d'entre-elles, elle aurait trouvé des explications. Quant à la Commission d’enquête sur le 11 Septembre, elle a acceptée les conclusions de la SEC qui ne seront évoquées que par une note de bas de page, dans le rapport final. Et ni la SEC, ni la Commission d'enquête, ne donneront l'identité des investisseurs concernés, des "donneurs d'ordres" de ces transactions inhabituelles.
Les organismes de surveillance boursiers d'une douzaine d'autres pays lanceront leurs propres enquêtes. Le directeur général du gendarme boursier Français (l'AMF, anciennement la "COB", "Commission des Opérations de Bourse") déclara alors: "Nos systèmes informatiques ont repéré une liste d'anomalies (boursières) sur laquelle nous travaillons d'arrache-pied". Et le ministre italien de la défense, Antonio Martino, alla jusqu'à affirmer publiquement qu'un complot financier se cachait derrière cette spéculation sur les marchés internationaux. Et l'enquête anglaise, elle, ne dura que deux semaines.
Toutes ces différentes enquêtes officielles aboutiront toutes à des non-lieux (en France et au Royaume Uni également), et les rapports d'enquête ne seront jamais publiés. Les délits d'initiés ne pouvant venir que d'individus liés à Al-Qaïda. Comme à part l'organisation terroriste, personne d'autre ne pouvant alors avoir une connaissance des attentats à venir. Mais aucune enquêtes officielles n'a pas pu présenter le moindre lien entre les mouvements suspects et Al-Qaïda. Voilà pourquoi, officiellement, il n'y a pas eu de délits d'initiés. Et les transactions inhabituelles ne seraient qu'une simple coïncidence.
Des ordinateurs récupérés dans les décombres du WTC prouvent les délits d'initiés.
Et les évidences de délits d'initiés ne s'arrêtent pas là. Dans les heures précédant les attentats, les ordinateurs installés dans les Tours Jumelles enregistrent un flux de transactions de valeurs financières anormalement élevé. Plus de 100 millions de dollars de transactions illégales selon l'évaluation de l'expert Richard Wagner de la société Convar, une société Allemande spécialisée dans la récupération de donnés informatiques, qui fut chargée de restituer les informations contenues sur les disques durs retrouvés dans les décombres du WTC. Peter Henschel, directeur de Convar déclara: "On soupçonne que l'information sur les attentats a été obtenue par des initiés qui l'ont utilisée pour envoyer des ordres et des autorisations de transactions financières". L'objectif était d'accomplir le crime parfait: "Ils croyaient que les enregistrements de leurs transactions ne pourraient pas être récupérés" après la destruction des systèmes informatiques, par l'effondrement des tours.
Peu de temps après ces révélations, les données de Convar furent récupérées par le FBI qui s'efforça de clore au plus vite ce dossier, un dossier par ailleurs totalement ignoré par la Commission d'enquête du 11 septembre. Quelques années plus tard, un représentant de Convar confirmera la nature compromettante des données (tout en faisant comprendre dans sa formulation, qu'il n'était pas autorisé à en dire plus).
Selon les estimations de Phil Erlanger, ancien responsable des analyses techniques de la société d'investissement "Fidelity" les délits d'initiés représenteraient des milliards de dollars de profits en pariant sur la chute des cours des sociétés affectées par le 11 septembre. Andreas von Bulow, ancien ministre de la Défense Allemand, estime que les profits avoisineraient les quinze milliards de dollars. La chaine CBS donne une estimation plus modeste en estimant que les transactions financières suspicieuses, pourraient dépasser les cent millions de dollars de profits (1).
Les éléments des délits d'initiés, font remonter jusqu'à un futur directeur exécutif de la CIA.
La société chargé des options de vente sur les actions de United Airlines, et qui annula son option à la vente de 2,5 millions de dollars, était la société "Banker's Trust Alex Brown" ("BT"). Cette établissement financier a été dirigé jusqu'en 1998 par A.B. "Buzzy" Krongard. Ce dernier avait auparavant été à la tête de la banque d'affaire "A.B. Brown" en 1997, qui sera racheté par la suite par "Banker's Trust", pour devenir l'une des vingt banques Américaines étant aussi complices dans le blanchiment d'argent de la drogue (cela sera évoqué par le Sénateur Carl Levin en 2001. Ces banques ayant fait l'objet d'une enquête du Sénat). Et "Buzzy" Krongard, deviendra par la suite en 1998, le numéro trois de la CIA en devenant directeur exécutif de l'agence de renseignement.
May Shattuck III prendra la place de Krongard à la tête de la "Deutche Bank" de la banque Alex Brown et en sera le responsable au moment des attentats du 11 septembre. Etait-il au courant ou non ? A-t-il eu peur d'éventuelles retombées pénales ? Toujours est-il qu'il donnera sa démission le 12 septembre 2001. Membre très actif du CRF, le "Council of Foreign relations" (2), Shattuck sera par la suite directeur-général de "Constellation Energy Group", qui fera partie de la cellule d'intervention pour l'énergie du vice-président à l'époque, Dick Cheney.
La "Deutche Bank".
Les jours précédents le 11 septembre la branche Allemande de la "BT", la "Deutche Bank Alex. Brown" sera l'une des acheteuses d'options de vente. C'était aussi le type d'opérations que gérait Krongard quelques années plus tôt, avant d'être nommé par George W. Bush à la CIA. Et la "Deutche Bank" sera responsable d'autres délits d'initiés en Allemagne liés à "Munich Re", avant les attentats. La CIA, interrogé sur le sujet par le journaliste d'investigation Tom Flocco, fera répondre par Tom Crispell, son responsable des relations avec la presse, que l'agence ne suivait pas en temps réel, des opérations boursières à l'intérieur des frontières Américaines. Mais Crispell ajoutera "Je n'ai aucun moyen de connaitre les opérations en cours à l'extérieur de notre pays". Mais on peut en douter, puisque l'agence de renseignement avait les moyens de suivre les transactions boursière et financières par le biais de son logiciel "Promis" (3).
En enquêtant plus loin, on découvrira que la "Deutche Bank" était aussi en relation avec des "opérations bancaires privées" Saoudiennes, des comptes bancaires possédé par des terroristes (Edition "Asie" du journal "Le Monde Diplomatique" du 28 septembre et du "Guardian" du 1er octobre 2001). Le porte-parole du Departement du Trésor Américain, Rob Nichols, reconaitra qu'il "s'agit là très clairement d'une piste intéressante à propos des questions qui se posent". mais, celui qui dirigera les enquêtes sur ces opérations douteuses, auxquelles auraient participée la CIA, sera Doherty, Vice-Président exécutif des infractions du NYSE, "New York Stock Exchange", la bourse de New York. Et Doherty était un ancien conseiller juridique de la CIA. Quand on demandera la raison de la présence de plusieurs personnes à des postes de direction au sein du NYSE, de la SEC, ou d'autre établissement bancaires d'investissement, qui étaient tous des anciens cadres de la CIA (4); le directeur de communication du NYSE répondra simplement: "Je suis tout-à-fait au courant du passé de M. Doherty et de son degré d'expérience". Confilt d'intérêt évident, qui manifestement n'a pas l'air de les déranger.
Pas étonnant que les enquêtes de la SEC aboutiront à un résultat quasiment nul.
La banque Alex Brown jouera aussi un rôle important pour le refinancement de la société "Carlyle Group" (dans laquelle George Bush père détenait une participation), pour l'achat de "United Defense Technology" (Carlyle est un important fournisseur de l'armée). Les bonnes relations entre les "Brown" et la famille Bush remontent à plusieurs décennies, depuis que la banque avait contribuée à la constitution de la société administrée par Prescott Bush (le grand-père de George W. Bush), qui prendra le nom de "Brown Brothers Harriman" (5).
Une escroquerie à l'assurance de la part du propriétaire du WTC, Larry Silverstein ?
Larry Silverstein, président de Silverstein Properties, en partenariat avec le fond de placement immobilier Westfield America Inc., avait signé un bail de 99 ans pour l'achat des bâtiments 1,2,3 et 4 du World Trade Center (le tout payé 3,2 milliards de dollars) le 24 juillet 2001, six semaines seulement avant les attentats (c'est la seule fois où le WTC changeait de mains depuis sa construction en 1973). A la suite des attentats, il avait demandé 7 milliards (3,5 milliards par avion qui pércutait le WTC, les considérant comme deux attentats distincts) mais suite à une sévère bataille juridique, il ne recevra que 4,6 milliards d'indemnités des compagnies d'assurances en mai 2007 (New York Times du 17 mars et 27 avril 2001; Daily Telegraph du 9 octobre 2001).
Larry Silverstein, demandera encore 12,3 millions de dollars en dommages et intérêts aux compagnies aériennes et aux société de sécurité des aéroports pour les attentats du 11 septembre. Cela fait suite à une plainte déposée en 2004, affirmant que les entreprises de sécurité ne sont pas pervenu à empêcher les pirates de l'air de monter dans les avions qui ont détruit les tours du World Trade Center. Sur les 12,3 milliards réclamé, 8,4 milliards seraient pour remplacer les propriétés détruites dans les attentats, et l'autre tranche de 3,9 milliards couvrirait la perte de revenus et des dépenses associés à la location de bâtiments neufs. Les entreprises concernées par les poursuites comprennent American Airlines, United Airlines, la firme Boeing et le Massachusetts PortAuthority (Massport), qui gère l'aéroport Logan de Boston, d'où les vols 11 et 175 ont décollés (New York Times du 27 mars 2008).
Silverstein Properties possédait déjà le WTC n°7, qu'il avait fait construire en 1987. Pour la destruction de celui-ci il recevra 861 millions de la part des assurances (Wall Street journal du 10 février 2002). Larry Silverstein dira qu'il a l'intention d'utiliser 489 millions de dollars de l'indemnité d'assurance pour couvrir un prêt hypothécaire existant sur le WTC n°7, et 65 millions de dollars pour régler d'autres dettes. Le solde de 307 millions devant être consacré aux coûts de construction d'un nouveau bâtiment n°7.
(1) Il y a aussi, mis à part ceux qui ne cherchent "qu'à se remplir les poches", la possibilité que les attentats, se seraient aussi trouvé en fait, d'une certaine manière, "auto-financé", par le biais du système de spéculation, de la finance internationale. Détail cynique, mais qui montre bien la manière frauduleuse et criminelle, par laquelle tous "systèmes" peut être employé.
(2) Pour plus d'informations, voir "Le CFR ("Council of Foreign Relations")".
(3) Pour plus d'informations, voir "Les Black program: Le logiciel Promis".
(4) Pour plus d'informations, voir "Les collusions entre la CIA et le trafic de drogue" et "Les collusions entre la CIA et Wall Street".
(5) Pour plus d'informations, voir "Le Nouvel Ordre Mondial (Partie 2)".
Sources:
"Franchir le Rubicon, Tome 1", par Michael C. Ruppert, Editions Nouvelle Terre;
"La face cachée du 11 septembre", par Eric Laurent, Editions Press Pocket;
www.reopen911.info;
www.historycommons.org.